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La Tragédie de l'Âne de Catherine Gil Alcala - Lecture performée

théâtre poésie lecture nuit blanche paris 19 Catherine Gil Alcala tragédie

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#1 La Maison brûlée

La Maison brûlée

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Posté 21 septembre 2018 - 06:09


La Tragédie de l'Âne de Catherine Gil Alcala
Lecture performée

Samedi 6 octobre 2018 à 20h
 
 
nuit-blanche-2018.jpg
 

Dans le cadre des Projets Satellites de La Nuit Blanche


Mise en scène Catherine Gil Alcala
avec Mariana Blanc Moya, Fanny Streissel, Mariana Giani, Xavier Pilloy, Édouard Bueno, Yves Gaudin, Catherine Gil Alcala
Masques : Mariana Blanc Moya

 

 
 
Le Roi aux oreilles d'âne décollées fait assassiner la Reine des oiseaux pour épouser une nouvelle femme déjà enceinte de lui. Avant de la tuer il lui dit qu'il la fera rôtir pour son repas de noces. La tête décapitée de la reine jette une malédiction sur tous ceux qui auront mangé sa chair. Les oiseaux de proie déterrent dans l'azur les industries chimériques des guerres...


La Péniche Anako

Bassin de la Villette, face au 34 quai de la Loire, 75019 Paris

Métro Jaurès (lignes 2, 5, 7b), Stalingrad (lignes 2, 5, 7)

entrée libre, 2 lectures performées entre 20h et 23h


Extraits de presse

Son texte traverse à la fois le monde des bêtes et celui des hommes... Et tous sont sur le devant de la scène tragique intemporelle, née de la Grèce. C'est le destin, le fatum qui tisse les lignes de forces... Les spectres des victimes comme dans Hamlet taraudent leurs meurtriers. M. du Crest, La Cause Littéraire

 

Parce que la vie ressemble parfois à du Shakespeare, Catherine Gil Alcala revendique une écriture pulsionnelle... Tout devient autant en fusion qu'en imposition : le Léthé et le Styx se mêlent en une prose poétique qui cultive le paradoxe : « les enfers intérieurs égarent l'être d'un doute invincible ». La peau devient sable, les fileuses des ours. J.-P. Gavard-Perret, lelitteraire.com


Un texte tour à tour hanté par la brutalité sommaire qui nous vient d'Eschyle, et la modernité d'un Ionesco. Tension entre la bouffonnerie et le poème violent... Il faut aussi se laisser porter par la vivacité des répliques, par la truculence des situations, par l'originalité des noms des personnages, et aimer aussi cette métaphore animalière qui conduit les oiseaux vers une humanité sombre et maladive. D. Ayres, Reflets du Temps
 




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