Que soubrette est la vie
quand elle danse sous le feu, regardez !
Ses pas enchainent des volutes
qui ne sont ni air ni fumée mais peau,
peau pour vibrionner entre nos nerfs.
Puis vient la perfusion : abîme
de l'heure qui passe comme une infirmière
à travers la fenêtre : le vent, l'air, l''horloge,
le tic-tac de la peau qui tente de s'enfuir.
Elle vient, fantasme quasi nu
à travers une feuillaison insomniaque, au charme
de ta floraison crueuse.
Roue libre qui brûle
Débuté par serioscal, oct. 28 2018 07:35
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