L’amour occupe tout le théâtre de nos rêves, la scène et l’avant-scène, les coulisses, les rangées de fauteuils en velours rouge, les galeries les plus hautes, où l’on vous assoit sur un strapontin, derrière un pilier, d’où l’on ne peut rien voir. Sur la scène se succèdent les divas, toutes les musiques du monde, opéras-bouffe et tragédies, jusqu’au jour où ce beau théâtre prend feu, – et c’est tout notre monde qui s’embrase.
2/12/18