C’est la fin d’un monde
C’est la fin d’une âme
La tristesse au fond de l’âme
Les aigreurs sales du monde
Tard dans la nuit
Je perds mon pelage
Je regrette la nuit
Où j’ai pris mon pelage
Les vents m’emportent
Mon corps ne fait plus de poids
Car les larmes s’emportent
Et les jolis têtes ne font plus le poids
Je n’espère plus être
Je veux ne plus voir
Quitte à n’être plus, voir
À ne plus être
Il ne reste
Plus de sens
Sans un sens
Pour mes restes
Je perds la tête sans ire
Je me laisse aller à la folie
Il n’y a plus besoin d’ire
Pour se pâmer dans la folie
Je regrette le temps naïfs
Qui laisse les espoirs naquir
Il ne me reste plus de temps
Pour venir t’observer naquir
J’ai perdu mon toit
Envolé dans la tempête de caprice
J’ai gagné en cette heure milles caprices
De ne plus avoir de toi