Toi qui au marché aux oiseaux tout à l’heure
voulait porter les cages au marché aux fleurs,
afin qu’enfin heureux vivent les inséparables,
que s’élève leur chant d amour incomparable.
J’aurai dans ma poche aujourd’hui
La clé de ton palais doré,
Je la jetterai au cœur des cieux
Ou plus loin encore,
Afin qu’enfin libérée
Tu exhales de l’amour les senteurs
Et qu’éternelle flamme vitale tu demeures.