Corps chantants,
Jusqu en rives obscures,
Vos fêlures
Crépitent sous
L oeil indélébile
Des arbres,
Baisant le règne doux
Du lichen sur la pierre mate,
Entrouvrant
Les nuages,
Comme les portiques des
Ciels paisibles.
Le souffle,lentement,aura
Poli vos nuits de scories.
Désormais une flèche
À l onde mûre s élève depuis la
Fin des temps.
Vous êtes nés au sel
De l organique échappée.
Nécessaire
Débuté par Grenade, févr. 29 2020 09:32
2 réponses à ce sujet
#3
Posté 29 février 2020 - 05:34
Il est, comme celui-ci, des poèmes dans lesquels il faut simplement se laisser ancrer.
- Laurence HERAULT et Edith aiment ceci