Loin tout là -bas, loin, l’océan
On dit la vie souvent ricane
De son regard le plus absent
Sur l’avenir de Souleymane.
Et Souleymane lui ne sais pas
Qu’avec les maux qui sont les siens
Ici l’on rit, l’on vit parfois
Sans se soucier des lendemains.
Car tout là -bas, loin, les enfants
On dit le Diable à , grand profane
Dressé son lit contre le sang
Du corps sans vie de Souleymane.
Et Souleymane lui ne sait pas
Qu’avec les maux qui sont les siens
Ici l’on rit, l’on vit parfois
Sans se soucier des lendemains.
Mais tout là -bas, loin, le printemps
On dit la mort belle en soutane
S’est endormie sur les vingt ans
Que n’aura jamais Souleymane.
Et Souleymane lui ne sais pas
Qu’avec les maux qui sont les siens
Ici l’on rit, l’on vit parfois
Sans se soucier des lendemains.
Oui tout là -bas, loin mais pourtant
On dit les fleurs lentement fanent
Comme s’est enfuit au fil des ans
L’ode à la vie de Souleymane.
Car Souleymane non ne sais pas
Qu’avec les maux qui sont les siens
Ici l’on rit, l’on vit parfois
Sans se soucier des lendemains.
Non Souleymane lui ne sais pas
Qu’avec les maux qui sont les siens
Ici l’on rit, l’on vit parfois
Sans se soucier des lendemains.
Souleymane
Débuté par Sebastian1980, avril 01 2007 10:42
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