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l arborescence de mes pensees , Nebuleuse


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#1 kim

kim

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Posté 24 avril 2020 - 10:51

                        Nébuleuse         

 

 

                                                                 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

  Les arbres pleurent de lourdes feuilles mortes,

Comme mes souvenirs, que le temps emporte.

Et le soleil, verse une lumière atone

Qui déteint sur mon cœur, ou doucement résonne

La mélancolie du refrain de l’automne

 

Kim

 2005

 

 

Ou est tu âme solitaire

Et quand est t-il de toi ?

Ai-je posé tienne.

Avant que les jours s’enlacent.

 

Ton sourire me dit souvent,

Qu’à la lueur du vent

 

Cervelles légères à jamais condamnées

Dans la société haute ils meurent doucement,

 A graver les mots sur les roches

 

Dans la mer jusqu’ aux terminaisons à souffler

Ils sifflent fort que les oiseaux s’enfuient.

 

Mais elle,

 Ne puis s’empêcher de croire au bonheur.

 

 

 

 

Es tu partis

 Ou bien es ce moi

Qui s’en alla

Pour d’autres dérives.

Loin de moi, de toi, de notre histoire.

Faut t-il toujours blesser

Toujours aimer

Sans amour toujours

De nouveau, encore

Faut t’il toujours aimer ?

 

La Sirène miroir

 

Ecrire me fait souffrir

Te regarder me fait penser

Qu’il n’y a surement plus

Que toi pour me comprendre

 

J’aime regarder ton visage

Tu es belle tu es une fleur

Que reste-t-il de ma candeur.

En réalité plus grand-chose.

Mais lorsque je m’allonge près de toi

Il me revient un instant de vérité

 

Que reste-t-il de ma candeur ?

L’ombre qui me heurte

Est semblable à la ville déserte

Que j’eusse aimé ?

Etait ce vrai ?

 

Mon esprit est pareil

A des miroirs par milliers

Qui s’éveillent par instants.

Mais je retombe dans l’ignorance

De ce qui anime ma vérité.

 

Cette douleur est affreuse

Il n’y a rien de certain.

Et le tumulte disgracieux ;

 

Volage ; cet enfer me souri

 

Je lui réponds que seul le bonheur m’inspire

Un bonheur simple comme te prendre dans mes bras

Toi qui es belle comme la paix d’un souvenir léger

Alors le diable me répond

Que lui aussi fut t’il un jour

Aimant et généreux

Alors je me relève plus fort le faut t il ?

Il n’y a rien que je désire

Je veux juste reconquérir la femme qui dans une vie passé

J’ai aimé et que j’aime encore.

 

Alors le diable encore me souri

Mais je ne lui souri pas

 

Elle n’est pas ma muse

Reflet de mon égoïsme

Elle est sirène miroir

Nue.

 

C’était là, vers les notes désertes de n’être si tristement autre, les notes étaient ce qu’elles étaient,

 Une danse à chaque cri ; au tournant et la brume s’en alla pour toujours.

Embrasse moi lui dit-elle et la musique l’embrassa

 C’est une évidence, un rêve libre et sans chagrins.

 

 

La princesse du temps ;

 

Princesse du temps,

Sempiternelle, à la fin

Et au commencement

 

Tu es la fleur

L’invasion

Et moi le sauvage

Libération

 

De quoi me parlais-tu ;

Je me souviens.       Toi

Fleuraison

 

Le chant et les racines.

N’as-tu jamais songé à la pluie ?

 

Tu es le prisme et la lumière

Qui change la loi

Dehors le soleil brille

Pourquoi fait t-il si froid ?

Je ne sais pas…

 

Le bonheur m’a trahi.

Sans bruit

 

Lumière sans loi

D’une saison à l’heure méconnue ;

Je cherche lueur

Dans le froid.

 

Le bonheur m’a trahi.

 Sans bruit

 

Tu es le prisme

Tu es ma lumière

Qui change la loi

 

Nous irons marcher

Et jamais, au grand tord

D’avoir été ; heureux

En marchand, muet tranquille

Et criant des mots doux

Brillent sur ton corps, tes yeux, musiques

 

Avant que je parte, reparte sur l’ile

D’étoiles

Désert,

Achevé de ma solitude ;

 

Reviens à moi.

 

Rien, cela n’est rien que l’ombre pareil

En ces lieux que seul le temps lui-même traverse sans rien abimer

 

 

 

 

A rien, à tout à toi

 

Dans le bleu océan,

Il y avait des fougères

Qui rasaient les sols

Comme sur la terre.

 

Je ne regarderai plus les étoiles.

Jolies.

La faute a qui ? A quoi ?

A rien à tout. A toi !

 

Arrêtes un peu de bouger comme ça. Là

Restes près de moi.

Je ne regarderai plus les étoiles.

Ni le vague, ni les tours,

Elles sont grises. La faute à qui, à quoi ?

A rien à tout ! La faute à toi.

 

 

La petite fille du soleil

 

 

Quelle est cette mélancolie

Que je vois dans tes yeux 

 

Un accord ;

Une partition

 

Il y a longtemps déjà

Que je t’aime.

 

Serai-ce la nuit qui t’appelle

Ou l’inconnue liberté

Qui t’enlève à la loi

Je t’ai aimé il y a longtemps déjà

 

Tu es loin je le sais

Comme la pomme de jouvence

Il faudrait arrêter le temps.

 

Comme l’arracheur d’arbres

Et celui qui balaye les montagnes

A quoi bon partir à la conquête de la liberté

Si à l’amour nous ne voulons pas nous livrer

Comme la petite fille du soleil

Et le prince sur son cheval blanc

Je sais que tu m’attends.

 

 

L’idiot

 

 

Pourquoi mon esprit s’éternise t-il sur ce corps que je parcours sans rien savoir.

Le méli mélo du destin s’arrache à mon cœur

 Et les notes qui bougent pour moi cet éteint

N’ont pas fini de poser sur l’horizon défunt,

Leurs désirs sans pareils.

Et mon cœur qui déteint.

C’est vrai et si je continue d’écrire sans fin,

C’est que les misérables notes qui entourent mon enveloppe d’écrin

Brillent comme un  soleil sans amour qui s’éteint.

Et si mon cri traverse la glace et les miroirs, c’est qu’au fond fragile mis à nu,

Je pense mes blessures qu’infligées ; j’inflige ;

Pareil à l’idiot Je guerroie et ne sachant pourquoi,

 La vérité m’emmène laissant les injustices voler comme l’oie

A la surdité totale n’écoutant que les notes mon bel oiseau et son sourire dans mes bras.

 

 

 

 

 

 

Kim

Novembre

2012

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

                    

 

 

 

                                           Nuit Perse

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Jérusalem

 

 

 

Jérusalem la belle

Jérusalem sans peines

 

En bas

Cents pas

En haut

Pour l’eau

 

Jérusalem la belle

Jérusalem Sans peines

 

 

 

Nuit Perse

 

Les étoiles sont tombées du ciel sans qu’ils ne puissent penser

Les étoiles ont joués sur le ciel rouge

Les amants sur le toit du palais envouté

Pour ne rien dire

Se sont embrassés

Ce doit être une nuit Perse

Rien et tout leur appartient

Les pensées, les fleuves, les contrées

Et toi, libre et enchantée

Amour pour cartes éparpillées

 

 

Poésie

 

Poésie

Dans ton temple tu m’accueilli

Il y avait des tableaux

Mon Dieu qu’ils étaient beaux

Il y avait des statues

Mon Dieu qu’elles étaient belles

Et il était permis aussi

Lorsque l’on était sage,

D’écouter la nuit

Dans tes bras petits

Je ne te ferai jamais de mal

Poésie Merci

 

 

Kim

2012