Elle peut s'étendre sur des kilomètres longs
Quelle soit couverte de graviers fins de sable blond
Ornée de coquillages ou de galets polis
Que la mer sans arrêt arrondit dans ses plis
Elle peut s'étendre sur des kilomètres longs
Là le monde s'achève là commence le rêve
La mer depuis toujours y tient le même discours
Les mêmes propos vagues qu'elle répète sans trêve
Là commence l'infini où le temps n'a plus cours
Là le monde s'achève là commence le rêve
Le vent que rien n'arrête attire les cerfs volants
L'air qui est vivifiant enivre les narines
Les poumons se remplissent et la brise marine
Qui fait gonfler les voiles emportent les oiseaux blancs
Le vent que rien n'arrête attire les cerfs volants
Telle une symphonie orchestrée avec choeur
C'est un euphorisant elle agit sur le coeur
Comme un premier amour une puissante liqueur
Éclairant le visage lui donnant l'air vainqueur
Telle une symphonie orchestrée avec choeur
Alain

Aucune réponse à ce sujet
#1
Posté 06 mai 2020 - 05:51
- M. de Saint-Michel, Sinziana et Laurence HERAULT aiment ceci
Aussi étiqueté avec au moins un de ces mots-clés : contre le confinement
Espace de publication →
Salon Principal →
La plageEcrit par recreation, 07 mai 2020 ![]() |
|
![]() |
||
Espace de publication →
Salon Principal →
La plageEcrit par recreation, 05 mai 2020 ![]() |
|
![]() |
||
Espace de publication →
Salon Principal →
Au nom de la roseEcrit par recreation, 28 avril 2020 ![]() |
|
![]() |
||
Espace de publication →
Salon Principal →
La vieEcrit par recreation, 26 avril 2020 ![]() |
|
![]() |
||
Espace de publication →
Salon Principal →
La corne d'abondanceEcrit par recreation, 25 avril 2020 ![]() |
|
![]() |