Vivre de son travail ou en mourir
Ah si seulement je pouvais choisir !
Après les bruits des gaz hautement délétères
Noirs fauteurs de nausées abondant aux cratères
Oiseux volcanique au fond moribond du ciel
Bleu malheureusement battant si loin de l’aile
Silence suivant le vol des poisons cendrés
Migrateurs un ange passe mal engendré
Le vrai menteur à la médisante dictée
S’entend-il fomenteur de fausse vérité
La tristesse est comme une mère pour moi
Quant à mon chagrin je l’appelle papa
Alors petit enfant de coeur lourd qui traîne
Ces deux seuls parents je leur fais de la peine
Tristesse amère morte de désarroi
Chagrin disparu au large de l’émoi
De bon choeur en mâle de mer de famille
Demain je les pleurerais avec ma fille
Hasard regrettable au même endroit sans remords
Un cyprès paraissant là si près de la mort
Cachait le malade if à un vieux sycomore
La fleur titubant au beau
Milieu d’un triste trottoir
Près de moi si seul à boire
Je lui ai payé un pot
L’ex-amour ayant pris jadis la clef des champs
Copinant revenant tambour battant l’idylle
Remue-ménage comme un poltergeist méchant
C’est une horreur à la maison d’amitié vile !