Le gros livre impraticable est désormais accessible librement en ligne.
http://www.ral-m.com...ay-arc-noir.pdf
Il paraît qu'il se lit "d'une traite". Voire.
C'est qu'il s'agit de célébrer trente ans de séries, tout de même.
Posté 22 février 2021 - 06:29
Le gros livre impraticable est désormais accessible librement en ligne.
http://www.ral-m.com...ay-arc-noir.pdf
Il paraît qu'il se lit "d'une traite". Voire.
C'est qu'il s'agit de célébrer trente ans de séries, tout de même.
Posté 23 février 2021 - 06:08
Ah ! c'est chouette ça _
Posté 23 février 2021 - 08:54
Je l'aime bien celui-là :-)
Posté 23 février 2021 - 09:08
Posté 23 février 2021 - 09:44
désolé pascal, mais 400 pages sur écran, non.
imprimer ? non plus. à 10 ct la page ça fait 40 euros, plus cher que le prix de vente du vrai livre et moins beau.
sérieusement, si tu as un vrai exemplaire à vendre je suis preneur.
sinon non.
Posté 23 février 2021 - 10:51
Je n'en ai plus moi-même !
Il doit être consultable à la BnF.
Posté 23 février 2021 - 12:08
alors tant pis.
Posté 24 février 2021 - 10:57
alors tout est pour le mieux.
c'est ce qui nous différencie :
moi je fais des livres avec l'espoir, peut-être insensé, qu'ils soient non seulement lus,
mais, encore plus délirant, compris.
Posté 25 février 2021 - 07:03
Ah oui, la compréhension, c'est rigolo. Elle ressemble à une falaise assise qu'on aurait emmêlée dans des cerceaux pour une sorte de ballet terrestre, proche de tout puits. Je ne sais plus qu'en faire, c'est l'enfer.
Pour Bruno : je ne sais rien de mes lecteurs, s'ils existent.
Ou, plus exactement : de mes lecteurs, je ne connais que les tourments que je leur aménage avec grand soin.
Posté 25 février 2021 - 01:42
pour bruno : faire publier un livre de poésie à compte d'éditeur est un parcours du combattant. il faut beaucoup de patience.
je ne sais presque rien de mes lecteurs. le recueil polder saturne a été vendu comme complément de la revue décharge à environ 300 exemplaires.
mes 2 recueil chez petit pavé ne dépasse pas les 10 exemplaires chacun. c'est ridiculement faible.
mais mieux vaut 10 lecteurs intelligents que 1000 lecteurs débiles.
ma lectrice numéro 1 est ma compagne marie-anne, et ça me va comme ça.
Posté 26 février 2021 - 09:07
Voilà le concept !
On va payer des gens pour qu'ils lisent nos poèmes.
On devrait y gagner pas mal de lecteurs.
Posté 26 février 2021 - 06:53
Il faut créer ses propres lecteurs et pour cela le meilleur matériau est soi-même.
Posté 26 février 2021 - 07:29
Posté 27 février 2021 - 06:37
' fabriquer le lecteur ' : je pense que cela existe déjà un peu _
dans les médias, déjà beaucoup trop, style ' LGL ' (ce qu'il faut avoir lu !)
par le biais des éditions (les prix, etc.)
et sur les forums (par le biais des ' amis ' et des ' commentaires)
sans polémique _
Posté 27 février 2021 - 09:16
J'envisageai plutôt une fragmentation de l'identité individuelle et un assemblage par ce moyen d'une infinité de lecteurs et d'écrivants. En quelque sorte : une Ecclésia poétique d'un Moi consubstantiel.
Posté 27 février 2021 - 11:06
Assez proche d'une définition de l'acte créatif _
Par / dans lequel la conséquence deviendrait moyen ?
C'est à dire écrire pour un public ?
Posté 27 février 2021 - 11:57
Ce n'est pas tout à fait la même chose.
Je serais plutôt d'avis de chercher l'inspiration chez Mary Shelley.
Posté 27 février 2021 - 02:28
être l'auteur d'un seul ' ouvrage ' ?
sur l'idée du ' on écrit toujours la même chose ' ?
Posté 27 février 2021 - 06:11
Posté 27 février 2021 - 06:23
Ou une armée de Bartleby qui préféreraient mieux ne pas.
Posté 27 février 2021 - 07:37
Posté 27 février 2021 - 07:53
Posté 28 février 2021 - 06:28
L'ouvrage occultant le créateur _
Posté 01 mars 2021 - 09:24
ah la mort de l'auteur, vieux tic de faqueux faquins ...
Posté 01 mars 2021 - 09:28
Non pas la mort, l'ordre d'importance. L’œuvre pour l’œuvre, pour elle-même et non pour son auteur.
Posté 01 mars 2021 - 01:04
Posté 01 mars 2021 - 05:57
ah la mort de l'auteur, vieux tic de faqueux faquins ...
Si on ne peut pas penser la mort de l'auteur, c'est qu'on pense son éternité.
Posté 02 mars 2021 - 09:47
Si on ne peut pas penser la mort de l'auteur, c'est qu'on pense son éternité.
la mort de l'auteur, c'était barthes dans les années 50-60.
maintenant le fin du fin , c'est la mort de l'auteur et du lecteur ,
et , encore plus fort , la littérature sans écriture.
autrement dit : le néant.
Posté 02 mars 2021 - 01:42
citation de google :
Chez Roland Barthes, l'unité du discours est pareillement mise à mal ; la mort de l'auteur dévoile « l'être total de l'écriture », c'est-à-dire la « nature » du texte qui est fait « d'écritures multiples, issues de plusieurs cultures et qui entrent les unes avec les autres en dialogue, en contestation.