3 réponses à ce sujet

[Thomas McElwain]

Grand’mère m’a donné un livre grand,

La Bible que sa sœur comme mourant

Lui laissait. J’ai aperçu sur la page

L’écriture d’une liste en dommages,

Les ancêtres oubliés dans le temps:

Le nom de son père et enregistrant

Le nom de sa grand’mère et à la suite

De Mary Crane, les lettres écrites

Avec une encre délavée deux noms

Jusqu’au nom surprenant dans la chanson:

Koquethagechton des grands Lénapés,

Un grand homme de foi et de la paix.

J’embrasse les paroles du message,

Je les cache en mon cœur avec courage.

 

[dragon dé-bridé]

Salut Thomas !

Le sonnet suivant n'est pas à prendre au sérieux mais ton poème a été une bonne occasion de m'amuser dans cette réponse fofolle.



Ces traités des U.S sans cesse ont dénigré
Nos terrains nos enfants nos coiffes puis nos plumes.
Et dans le blanc des yeux des regards d'immigré
Des qu'on nous dépeça de moins en moins nous plûmes

Nous voici mis en huile à ne pas vinaigrer
À ne pas mélanger quelques soient nos volumes
Blanc plus noir c'est soit gris, soit c'est zébré, tigré...
Les US sont marteaux , leurs traités sont enclumes

Et nous voici quand même à tous les regarder
Ces Ricains que l'on craint ses crétins que nous fûmes
Dur dur d'être avant eux, on s'en s'rait bien gardé !!

Mais destin.. mais futur.. c'est toi qui nous enfumes !
Contre toi , p'tit fatum , pour bien t'enquiquiner
Un mec ... Genre un Thomas t'eteint quand tu t'allumes




(Le dernier vers est une pure folie)

[M.KISSINE]

Je salue l'attention merveilleuse du partage, merci de nous en faire découvrir la dédicace poétique.
Le texte me rappelle - et c'est très loin, la fascination que j'avais à toucher le petit livre de messe à couverture d'ivoire que mon arrière-grand-mère cachait dans un immense tiroir de son armoire.

Beaucoup d'émotion aussi

[Thomas McElwain]

Salut Thomas !

Le sonnet suivant n'est pas à prendre au sérieux mais ton poème a été une bonne occasion de m'amuser dans cette réponse fofolle.



Ces traités des U.S sans cesse ont dénigré
Nos terrains nos enfants nos coiffes puis nos plumes.
Et dans le blanc des yeux des regards d'immigré
Des qu'on nous dépeça de moins en moins nous plûmes

Nous voici mis en huile à ne pas vinaigrer
À ne pas mélanger quelques soient nos volumes
Blanc plus noir c'est soit gris, soit c'est zébré, tigré...
Les US sont marteaux , leurs traités sont enclumes

Et nous voici quand même à tous les regarder
Ces Ricains que l'on craint ses crétins que nous fûmes
Dur dur d'être avant eux, on s'en s'rait bien gardé !!

Mais destin.. mais futur.. c'est toi qui nous enfumes !
Contre toi , p'tit fatum , pour bien t'enquiquiner
Un mec ... Genre un Thomas t'eteint quand tu t'allumes




(Le dernier vers est une pure folie)

Mais c'est une folie ravissante! Mille remerciements, comme disent les Suédois!

Je salue l'attention merveilleuse du partage, merci de nous en faire découvrir la dédicace poétique.
Le texte me rappelle - et c'est très loin, la fascination que j'avais à toucher le petit livre de messe à couverture d'ivoire que mon arrière-grand-mère cachait dans un immense tiroir de son armoire.

Beaucoup d'émotion aussi

Quel joli commentaire! J'avais peur que l'émotion ne s'entendît pas. Maintenant le petit livre de messe à couverture d'ivoire m'est  déjà devenu un souvenir cher.