
Je bois du ciel bleu à ta bouche endormie
#1
Posté 19 février 2008 - 05:52
#2
Posté 19 février 2008 - 06:12
Tu décroises les nuages
Pour ouvrir un ciel d'eau
D'où mes larmes assombries
Soulèveront le passage,
et découds de mes os
toutes cendres d'oubli.
Tu désemplis l'espace
de mes peurs consumées
et l'ombre que je chasse
me revient éclairée.
Abandonnée au de-venir du matin...
Quelle bonne idée j'ai eue de venir faire un petit passage express sur tlp, quel plaisir de découvrir ce texte.
merci pour ce poème triste, mais délicat.
#3
Posté 19 février 2008 - 08:17
Toujours cette émotion particulière à te lire...vers délicats qui disent au-delà de mots un indéfinissable...et ce voyage sur tes mots laisse le doux sillage de ce qui se ressent sans devoir être dit explicitement...
Tu décroises les nuages
Pour ouvrir un ciel d'eau
D'où mes larmes assombries
Soulèveront le passage,
et découds de mes os
toutes cendres d'oubli.
Tu désemplis l'espace
de mes peurs consumées
et l'ombre que je chasse
me revient éclairée.
Abandonnée au de-venir du matin...
Et le souhait d'écrire ce que je ressens...à la lecture...
Au-delà des larmes...la nuit...bouche endormie...passage...vers la douceur...nuage et pluie...
L'amour, et les peurs alors s'envolent...un autre espace, ouvert au ciel bleu...et l'ombre de soi-même se revêt de lumière...au matin de la tendre douceur et délicatesse de l'amour...éveil à un bel espace...abandon...
A lire et relire ton poème, j'y vois plusieurs images, plusieurs sens...un poème comme un conte...où l'on imagine à souhait...ce que j'aime...tes mots...un passage vers l'imaginaire...de chacun...libre d'y ressentir ce qui lui vient...
Merci, la Passagère, pour cette émotion, précieuse.
Amitiés, La Passagère
Fleur de Lotus
Et un air de Chine, pour toi:
Aux imminentes nues
la terre soudain s'ouvre aux larmes
Proche du corps du coeur
pluie de pétales, extase d'étoiles
F. CHENG, Le Dialogue
Un livre était resté de cela plusieurs jours, avec un marque-page sur ce poème de Cheng qui m'avait ému...et je viens de voir sur un poème de Belvis, Il penchera son corps sur le bord de la nuit, des vers délicats de Cheng que tu as déposés...
#4
Posté 19 février 2008 - 08:34
merci pour ce poème triste, mais délicat.
merci à toi de ta lecture, ton plaisir m'honore Au fil des mots.
Amitiés,
La passagère.
#5
Posté 19 février 2008 - 08:48
Mais pas seulement,
pour consentir à l'abandon...
La lumière est là .
#6
Posté 20 février 2008 - 01:35
Des bris de coeur à la douceur du désir...
Par la grâce d'un rêve bu à des lèvres endormies...
Un lumineux passage...
Amitiés.
#7
Posté 20 février 2008 - 09:20
Triste chien de fusil.
Mais pas seulement,
pour consentir à l'abandon...
La lumière est là .
oui, la lumière de l'assurance retrouvée dans l'abandon.
merci de ta précieuse lecture belvis.
Au plaisir de te relire.
#8
Posté 20 février 2008 - 09:33
Toujours cette émotion particulière à te lire...vers délicats qui disent au-delà de mots un indéfinissable...et ce voyage sur tes mots laisse le doux sillage de ce qui se ressent sans devoir être dit explicitement...
Et le souhait d'écrire ce que je ressens...à la lecture...
Au-delà des larmes...la nuit...bouche endormie...passage...vers la douceur...nuage et pluie...
L'amour, et les peurs alors s'envolent...un autre espace, ouvert au ciel bleu...et l'ombre de soi-même se revêt de lumière...au matin de la tendre douceur et délicatesse de l'amour...éveil à un bel espace...abandon...
A lire et relire ton poème, j'y vois plusieurs images, plusieurs sens...un poème comme un conte...où l'on imagine à souhait...ce que j'aime...tes mots...un passage vers l'imaginaire...de chacun...libre d'y ressentir ce qui lui vient...
Merci, la Passagère, pour cette émotion, précieuse.
Amitiés, La Passagère
Fleur de Lotus
Et un air de Chine, pour toi:
Aux imminentes nues
la terre soudain s'ouvre aux larmes
Proche du corps du coeur
pluie de pétales, extase d'étoiles
F. CHENG, Le Dialogue
Un livre était resté de cela plusieurs jours, avec un marque-page sur ce poème de Cheng qui m'avait ému...et je viens de voir sur un poème de Belvis, Il penchera son corps sur le bord de la nuit, des vers délicats de Cheng que tu as déposés...
Merci chère Fleur de Lotus pour cette extase d'étoiles de François CHENG , que j'admire énormément.
Et pour tes mots déposés, mille mercis aussi : "car dans la rosée des petites choses, le coeur retrouve son petit matin et s'en trouve rafraîchi" (K.GIBRAN)
Amitiés,
La passagère.
#9
Posté 20 février 2008 - 09:37
#10
Posté 20 février 2008 - 09:43
merci passagère
#11
Posté 20 février 2008 - 09:52
c'est bien de commencer la journée avec un poème délicat et charmant
merci passagère
C'est avec joie que je reviendrai...
merci d'être passé ici Adjout.
Au plaisir,
La passagère
je ne pense pas t'avoir deja lu auparavant, quoiqu'il en soit je dois dire que j'ai vraiment aimé te lire
Merci de déposer un petit mot en passant,
bonne journée à toi,
Au plaisir de te re-lire bientôt.
La passagère.
#12
Posté 20 février 2008 - 12:40
#13
Posté 20 février 2008 - 02:02
Du gris des cendres au bleu du ciel...
Des bris de coeur à la douceur du désir...
Par la grâce d'un rêve bu à des lèvres endormies...
Un lumineux passage...
Amitiés.
Puisque joie et tristesse
sont inséparables,
un regard de lune pour nous apaiser
est indispensable.
merci pour tes mots bleus Charly java....
#14
Posté 20 février 2008 - 04:18
un très beau texte....
un délicat passage...
merci !
Amitiés.
#15
Posté 22 juin 2008 - 08:23
de ton poème émane une rare musique.
Amicalement Philippe
#16
Posté 22 juin 2008 - 10:56
Bonjour
de ton poème émane une rare musique.
Amicalement Philippe
Merci, petite musique au plus intime
creux des veines...
Amitiés et bon dimanche.