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Syntagmes poétiques-structurales des vierges métaphores intellectuelles épileptiques


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17 réponses à ce sujet

#1 clemouchka

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  • Une phrase ::Tout est Amour, Dieu est pur Amour.

Posté 20 décembre 2021 - 09:55

Des brasiers d’astres dansaient dans les chairs éclatées, boursouflées, exsangues progénitures des mensonges.

Murmures d’abeilles pleuvant des miroirs décharnés, enveloppés d’éveils biologiques, physiologiques, polyglottes.

Des parfums, des fragrances d’ors ruisselaient à travers des cataractes protéiformes, linguistiques, sémantiques des hasards.

Silences topologiques, mathématiques.

Irisés d’invisibles végétations pneumatiques, respiratoires, réticulaires, nucléaires.

Accrochés de lèvres rousses, fractales mélancolies des sourires en prières métabolisées, pèlerinages des sémiotiques suicidées, mains des déplacements.

Là ou des balançoires irisées d’ipséités intuitives, drainages les azurs consubstantiels.

Des morves.. cécités acoustiques, électriques voyelles des littératures chirurgicales, fontaines d'alcools bleus, Rires...

Essaims, des libellules télépathes, géographes... génocides semences des pores intellectualistes....

Riaient des alcôves pénétrées de lierres, plantes neurologiques.

Par-delà les verticalités d’oiseaux chaotiques.

Délavés de clystères intellectuels.

Décompositions des papillons déchiquetés, morcelés.

Chrysalides temporelles.

Parfums gnoséologiques.

Mensonges veinés de plasticités aux évanescences des puits botaniques absents.. derechef... !

Accordéons inorganiques, idiosyncratiques des humeurs pendues, éveils inesthétiques, hiboux des cicatrices, volées.. .

Flagellations, des architectures d’ossements.

Cheveux cryptiques.

Nourritures, des pachydermes alcooliques.

Vins génétiques, abstraits, déliquescents, psychologiques.

Infusés d’alcaloïdes perfusions.

Géométriques contritions.

Stochastiques brûlures d’ongles oniriques.

Au-delà des cerveaux moissonnés, de liquides frondaisons.

Des équilibres métempsycoses, infortunes les citrons inconscients.

Violons des grappes picturales, structurelles.

Se balançaient les grimoires inesthétiques.

Tristesses des nonchaloirs cultuels, abandonnés.

Criblages systémiques, jaloux, démentielles progénitures des âmes circonflexes, zététiques instrumentations des azurs digitaux, crucifiés.

Araignées centrifuges, virtuelles.

Enchâssées des ruptures.

Clepsydres instantanéistes.

Botaniques structuralistes, architectoniques des abeilles à bouteilles punitives, embrasées de larmes géométriques.

Pétales d’omoplates jaloux.

Cycles des diapasons cunéiformes, transparents.

Flacons des pendules grammaticaux.

Cristaux des doigts illuminés d’absinthes matriciels, imparfaits.

Pyramides d’yeux contemplatifs.

Baignés de comètes, scissiparité des lotus théologiques.

Les transmissions des éternités substantielles, évolutionnismes.

Corps synaptiques embrasés.

Sarcophages littéraires.

Unicités des délires aux essences, des bijoux combinatoires.

Géographiques nuques des cynismes.

Persiflages chirurgicaux.

Dissociations des soleils intentionnels.

Les hydres d’hybris blasphématoires, complexions des délires vierges.

Théâtralités des mysticités invisibles.

Coulées de fontaines aux reflets miroités, tremblants, ineffables.

Là ou hurlaient des chaînes d’humanoïdes, "téléplastiques."

Lézardes, des commissures intersticielles.

Bateaux tanguant, naviguant, roulant, à l’intérieur des cyprès de paupières d’anachorètes, peinturlurés, imprimés.

Comètes aux calices caressés, fomentations des caresses existentielles, phonologies des essences kabbalistiques.

Des larmes géodésiques.

Offrandes des continuités violettes.

Des licornes à maïeutiques les raisins immatériels, migratoires, degrés des pouls surréalistes, projectales, antinomies des temps cellulaires, matriciels enfantements des fruits mentaux.

Les éléphants hybrides, électriques.

Prisons des animaux cathartiques distribués, théâtralités des éthologies les apparentes transcendances, des émanations par digressions des firmaments sociologiques.

Neurasthénies scientologies.

Transparences instrumentales, infinitésimales des pensées transfinies, porphyres inaliénables.

Des hiboux programmatiques, conflictuels, projetés de silices des charmes pyramidaux, binaires, archéologies des peaux scientologies, par gourdes des rêves nourritures connexions menstruelles des corps bicéphales, ô démences mathématiques !

Désirs des pierres spectrales.

Aspirations des fusées voguant dans les sourires des éthers noirs, bleus, blancs, roux !

Fusées des cascades cosmiques, endormies.

Les planètes chauves, identiques, cérébrales.

Germaient des olfactions primales, génuflexions des écorces artistiques, infrastructures des ensembles à pulsions d'alcools sémantiques.

Accrochées de territorialités immenses, synonymes d’infinis là ou l’univers des arrachements mentaux, primales.

Dionysos astrologiques.

Ivresses linguistiques, des soubassements d’échines prolixes.

Décomplexions des trajectoires d’une fusée roulant, épousant, ramifiant, connectant, les vapeurs, les raisins empourprés, conflictuels, laitances dédoublements.

Dimensions stellaires, des transfinis espaces aux bouteilles d’encres, phylogénétiques.

Chassées de synthétiques abstinences, arborescences des doutes, limitatifs, consubstantiels, privatifs.

Des alvéoles, des artérielles arborescences, des mondes photographiques, aliénés.

Statues mémorielles, ô statues des infinitésimaux Léviathans respiratoires.

Des dilatations tièdes des plantes infographes d’idées.

Cris aveuglés des médicaments ontologiques, topologies des ongles émotionnels.

Agenouillements expérimentaux, doxologies des naissances puissances des grappes ontologiques aux crétacés égologies, ô étoiles fusionnées de rébellions de carafes nerveuses !...

Suicides d’ADN contemplatifs.

Charrues des mosquées différentielles.

Des ciboires intérieurs.

Bleus des genoux mythologiques.

Les filaments figés des polyglottes shamanismes, totémismes.

Des artefacts roux, tâchés de poings eugénistes.

Mâchoires spirituelles.

Insectes providentiels.

Cathodiques déstructurations.

Des autodafés sémantiques, automatismes minéraux des interdits gnomiques.

Cétacés dédoublés.

Cénobites mensonges.

Moustaches d’épices cognitives.

Clavecins des cultures déchiffrées, traductibles, convertibles.

Hypostases à voyelles des extractions psychédéliques.

Les créationnistes ondoyant des emperlées communications, labyrinthes athées.

Modélismes incarnés.

Incandescences des crânes.

Chaperonnés diététiques.

Images de reptiles sociologiques.

O pendaisons, des sangs cosmogoniques !



#2 denis_h

denis_h

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Posté 21 décembre 2021 - 02:17

bonjour clément,

 

quel(le)s sont vos poètes préféré(e)s ?



#3 Thomas McElwain

Thomas McElwain

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  • Une phrase ::Les poètes sont des arbres; les poésies sont les feuilles.

Posté 21 décembre 2021 - 03:18

Ce qui m'intéresse c'est la combinaison de sons et la juxtaposition des sens inattendus et inhabitués.



#4 Thomas McElwain

Thomas McElwain

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  • Une phrase ::Les poètes sont des arbres; les poésies sont les feuilles.

Posté 21 décembre 2021 - 03:32

Le sens, celui que l'on donne

Hé ben ! ça reste un truc personnel

 

Cela se voit très clairement dans ce poème, c'est vrai cela.



#5 Thomas McElwain

Thomas McElwain

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  • Une phrase ::Les poètes sont des arbres; les poésies sont les feuilles.

Posté 21 décembre 2021 - 06:13

Que dire sur certains textes

Parfois je les trouve juste bavards

Je ne sais pas vraiment qu'en penser 

Il ne faut pas peut-être toujours penser. À vrai dire, penser est rare.



#6 M. de Saint-Michel

M. de Saint-Michel

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  • Une phrase ::Je suis quelqu'un pour qui poésie et respiration ne font qu'un.

Posté 21 décembre 2021 - 07:23

Un déluge verbal dans lequel on se noie avec délices...

#7 Thomas McElwain

Thomas McElwain

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  • Une phrase ::Les poètes sont des arbres; les poésies sont les feuilles.

Posté 21 décembre 2021 - 07:38

Vouloir tout dire

c'est dire n'importe quoi

où est donc la vérité ?

Il ne veut pas tout dire ou dire n'importe quoi. Il ne cherche pas a dire la vérité. Il cherche, à mon avis, à chanter d'une nouvelle voix qui se concentre sur les sons des mots autant ou plus que leur signification scientifique ou matérialiste, et s'ouvrir l'esprit par l'association des mots d'une manière inattendue. C'est tout autre chose que de vouloir tout dire, de dire n'importe quoi, ou de chercher la vérité, choses aussi admirables, mais tout de même autres que ce poème extraordinaire. Il ne faut pas juger un poème par des critères estétiques que le poète ignore. Il faut essayer de savoir ce qu'il cherche et juger s'il y reussit. À mon avis, il réussit.



#8 Victorugueux

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Posté 22 décembre 2021 - 12:20

Des fois, je me tais

Je ne sais que vous dire ! 

Notre vie, elle est faite

De réalités complexes



#9 Victorugueux

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Posté 22 décembre 2021 - 01:28

Pour Dieu 

Je ne sais pas que vous dire !

Et là ! Je préfère me taire



#10 denis_h

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Posté 22 décembre 2021 - 03:48

moi ça me fait un peu penser, toute proportion gardée,  au tzara de l'homme approximatif ...

 

ce qui me gène, c'est le côté "liste de course" et la surabondance de phrases nominales.



#11 Thomas McElwain

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  • Une phrase ::Les poètes sont des arbres; les poésies sont les feuilles.

Posté 22 décembre 2021 - 07:02

moi ça me fait un peu penser, toute proportion gardée,  au tzara de l'homme approximatif ...

 

ce qui me gène, c'est le côté "liste de course" et la surabondance de phrases nominales.

Bien noté. Un peu comme chez Rabelais, que je lis ces jours-ci.



#12 Victorugueux

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Posté 22 décembre 2021 - 08:22

Je ne sais que dire

Car je lis assez peu

Des gens comme Rabelais



#13 Thomas McElwain

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  • Une phrase ::Les poètes sont des arbres; les poésies sont les feuilles.

Posté 23 décembre 2021 - 04:59

Je ne sais que dire

Car je lis assez peu

Des gens comme Rabelais

Oui, je sais,

Vous n'aimez pas les curés.



#14 Victorugueux

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Posté 23 décembre 2021 - 12:09

zut ! Laissez les curés !

Qu'ils soient tranquilles



#15 Thomas McElwain

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Posté 23 décembre 2021 - 12:54

zut ! Laissez les curés !

Qu'ils soient tranquilles

D'accord! C'est vous qui voulez en écrire. On peu bien mentionner Rabelais sans se référer aux curés. Où bien, on peut oublier Rabelais aussi.



#16 Victorugueux

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Posté 23 décembre 2021 - 01:09

Je ne sais pas quoi te dire !

Mais pour la vie qui change

J'entends des messages

Sur le Covid qui reste à gérer



#17 denis_h

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Posté 23 décembre 2021 - 04:05

je note aussi la présence de "morves" rimbaldiennes.


et puis il faut être équitable :

 

j'avais parlé de "déversement" pour le poème de boetiane,

 

c'est aussi le cas ici.


c'est peut-être écrit "sous influence", comme on dit...



#18 Hattie

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Posté 24 décembre 2021 - 06:40

J'aime parce que c'est ce que tout un corps peut ingurgiter de pensées opposables face à une foi envahissante,  / débordante, incomprise __

 

Incomplète et sécante : rendre _

 

Une ' peinture ' à la Jérôme Bosch, oui _