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Tableau schizophrénique aux nourritures existentielles philosophales


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2 réponses à ce sujet

#1 clemouchka

clemouchka

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  • Une phrase ::Tout est Amour, Dieu est pur Amour.

Posté 27 décembre 2021 - 07:24

« Des parfums électriques puisés de prières organiques. Pénétrés de danses Biologiques. Ou des infusions de peaux pleurent. Des semences mentales. Intégrales » 

« Des oiseaux roux peignés, composés d’astres immaculés. Voyances. Les nourritures temporelles. Ou pleurent les azurs Matriciels. Des enfantements neurologiques. O degrés. Des vins géométriques »

«  Les animaux éclatés de Chevelures noires, espéraient les éveils drainés d’un nonchaloir. Aux tessitures exsangues, aux travestissements de chastetés ruisselant. Les Rires sibyllins, syphilitiques, épileptiques. Moirés d’imagos. Mathématiques. »

«  Les hiboux décomposés de métaphysiques voyelles. Aux cerveaux intérieurs. Aux épures d’arabesques psychologiques. Filtrations Littérales. Des cristaux existentiels. Des âmes aux puits. Blasphématoires jalousies. Les myosotis géographes. Intelligents. soleils astrologiques. Ou pleurent les corolles alimentaires. Les degrés lavés d’accordéons Saints. Transcendantaux. Les caprices emperlés de visage aux tristesses profondes. Les pleurs des silences. Peaux mélancoliques. D’un esprit aux sanglots diffus »

« Pénétrés de blessures irréversibles. De destructions intérieures. De larmes incandescentes. Ou des parfums nostalgiques. Torpides. Reproductions des murmures. Les peintures cicatricielles embrasées. De feux sans espoir »

«  Par où ruissellent des chairs médusées sans rêves. Sans promesses de joies. Sans plénitudes. Sans exaucements de prières. Ou les citadelles de l’amour danseraient. Avec les anges infusés de gloires. »

«  Les parfums des étoiles murmurent. Caressent. Touchent mes brasiers incontinents. Ou des pluies de chevelures lactescentes. M’hypnotisent par des trésors. Des offrandes matricielles. De présences. Ou rient les cieux éclatés. Boursouflés d’onirismes. »

«  Les cigales hurlant les lampes intérieures. Des naissances vierges par-delà des cascades enivrées d’odeurs. A feux de larmes symétriques. Les âmes de la nuit coulent dans mes veines. En chrysalides émotionnelles. En rupture de contacts. De relations belles. Heureuses. Chatoyantes. »

«  La condition humaine dévore des plaies, des béances, des blessures en moi. Où rient, hurlent. Des stigmates mentaux. Déshabillés. Décharnés de baisers secrets. Religieux. De dévorations. D’équilibres neurologiques. Abandonnés de foi. En des Divinités absentes. Inexistantes. Irréelles. »

«  Dans des arborescences prisonnières. Printanières. Chimériques. Ou se pâment. Des alcools. Neurologiques. Enveloppés. Incrustés de semences lacrymales. Peintures. Aux puits infinis. »

«  Crevés de génocides abstraits. D’autodafés spirituels. Martyrs schizophréniques. De folies parcheminées d’obscurités. Ou les visions de l’avenir. Se ramifient d’interdits vivaces. Cellulaires. D’images. Où chialent, châtient les braises mouillées. Perfides. Sarcastiques. » 

« Les brasiers ontologiques perlés de liqueurs ensanglantées. Réelles. D’affres ravivées de solitudes extraits. Des lanternes hypocrites. Et ou les blancheurs diaphanes. Des traînées de tombeaux psychologiques. Drainent des conjugaisons lépreuses. D’isolements. D’incompréhensions. De rejet. Négativités complexées. Balafres comportementales. »

«  Plongés d’appétences. Ou les combinaisons astrales. D’un monde préétablit. Là ou se désintègrent. Les langues de feux divines. Les cryptes en désirs charmés. Eveils. Des déchirures immenses. Architectures. Des phares illuminant. Les océans captifs. Lézardés. De figements mystiques. De cathédrales étranglées. D’étincelles morphologiques. »

« Les oiseaux tremblaient, frémissaient. En des chevelures instinctives. Des boucles d’azurs couvées d’élasticités volées. Là, ou les oiseaux conquéraient. Les espaces célestes. Aux torches d’ors imprimées. D’ailes. Aux semences gorgées. Inaliénables. En délires atmosphériques. »

«  Les pubescences religieuses. Des hommes abandonnés. De musiques télépathes. Se recueillaient. Dans des nénuphars charnels. Ou des voyances métaphysiques. S’égrenaient. En des lanternes. De forêts animales. Les transparences. Des cygnes identiques. »

«  Jasaient les trouées des fontaines. Aux flots illuminés d’alcyons crépusculaires. Irréguliers. Les zéphyrs aux doigts roux. Bleutés de puissances vitales. Aux archéologies. D’un savoir symbolique. Horloges aveuglées de libellules. Fourmillant. A l’intérieur des lavandes épileptiques. Ou les astres de l’univers tournoient. Roulent. Dans les cosmos hybridés. Les fragrances hystériques. »

«  Des élastiques vitales. La peur des esprits surréalistes. Puise en moi. Des infrastructures mythologiques. Lavées d’informations nihilistes. Comme des scepticismes. Ou mes inconscients doutent, questionnent, interrogent la folie créatrice. »

«  Aux fontaines d’yeux ineffables. Clairvoyances. Je découvre en moi. Les Verbes d’une intelligence géométrique. La vie m’a offert, donné une intelligence. Aux floraisons idéelles. Véritablement, proprement rare. C’est comme si j’étais un être nouveau. Comme si j’expérimentais une existence ramifiée. Complexée de larmes. D’affres. De dérélictions. Typiquement inouïe. »

«  Comme des lueurs chastes. Fabricatrices d’émotions paroxystiques. A des niveaux. Des élévations potentielles. Grevées de géhennes métabolisées. Modélisées. »

«  Ses laves bipolaires. Ses psychoses déstructurées. Ses cadavres vins. Tordant mes genoux métaphoriques. Les abysses de l’âme éthérique. Innervent les violoncelles endormis. Rêvant de séductions physiques. Les mains impalpables. Tendues comme des arc-en-ciels décapités. Pendus. Les abeilles d'écritures. Mensonges."

«  Des substances floconneuses mendiant. Des Rires perfides. Aux creusets d’entrailles logiques. Ou les charognes bicéphales. Tombées de pâmoisons ou larmoient. Des singes modificateurs… . »

«  Les machines aurifères aux vins adamantins. Là ou des lichens sociologiques. En liaisons d’avec les partages inesthétiques. Foisonnant de radicelles. Ou les tapisseries Absurdes. Fissurées de promesses anthropomorphes. Là ou les pierreries cruelles, diaboliques. Ensemencent les planètes de verres. »

«  Des botaniques shamanistes. Des opiums enchaînés de scientificités étrangères. Les âmes s’accouplant de sibyllines chirurgies. Des Je évanouis. Brisées de cauchemars. Les impuissances inhospitalières. »



#2 Thomas McElwain

Thomas McElwain

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  • Une phrase ::Les poètes sont des arbres; les poésies sont les feuilles.

Posté 28 décembre 2021 - 06:00

"Des parfums électriques puisés de prières organiques." On dit que le grand prophète Muhammad aurait proposé trois choses qu'il aimait: les femmes, les parfums, et surtout la prière. Je m'extase sur les parfums électriques et les prières organiques. Vous savez, vous êtes un génie métacristalique.



#3 clemouchka

clemouchka

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  • Une phrase ::Tout est Amour, Dieu est pur Amour.

Posté 28 décembre 2021 - 09:12

Un immense Merci à Monsieur Thomas McElwain ! .....

Je suis très touché.

Chaleureusement.

Clemouchka.