Des mains décanteuses d’alcools brûlant les transmissions des peaux d’azurs baignés de délires existentiels ou dansent les rayons de l’astre s’écroulant sous les nourritures thermiques des Visages invisibles, Pluriels.
Des sourires d’horloges ou dansent les abeilles mélangées en des semences temporelles ou pleurent les nénuphars intuitifs.
Les fragrances éternelles dévoreuses de diamants acoustiques ou des araignées transparentes, communiquent les cristaux cognitifs intégrés, sous des déhiscences de larmes abstraites... non différentiées.
Les subjectivités du firmament éclaboussés en flaques-lèvres par des violons biologiques, rêvent les Puissances des yeux temporels Sacrifiés.
Les flots d’oiseaux embrasant les puits hystériques des végétations aveuglées à brasiers Inconnus, drainent les visages aux semences picturales traversées de mains silencieuses.
O pachydermes aux Lumières impalpables crevées de symétriques déliquescences Hommes, ou pleurent, rient, les fantasmes brûlés des neurones intelligents, pénétrés de ruptures ou des Chevelures de flûtes, prient les mythologiques incontinences des pensées aliénations, ô torches émotionnelles balancées de cataplasmes onirisés, ô fragrances intuitives ou se recueillent les printemps cellulaires, des Stigmates voyants.
La ou se mettent à genoux les Opiums décomposés, les séraphins jaloux, les poings exhalant des souvenirs d’enfantements Métaphysiques, électriques, ou tombent les désirs hystériques, des éveils connectés d’associationnismes identités, éthiques, primales, ou méditent les anges lacrymaux, sans yeux, aux alcôves délicates, infusées de biologiques intellections ou hurlent les Sociologiques pulsions fermentées, en présages morcelés des cerveaux irisés de cycles hypocrites, ou larmoient les vins aux métabolismes discrets pleines de fusées voguant sur les délices astrales, des encres cosmiques diffusées de folies mystiques, Mystérieuses, là ou se dévoilent les papillons synthétisés, de Gravitations perlées de Gestalts distributives des pluies vitalisées, en des structuralismes d'étoiles ou songent les doigts épileptiques, Présents, ô liquides d’adieux comportementaux, ô vierges Géographies, aux cueillaisons de cygnes hallucinatoires, ô sacrifices ou des comètes d‘écumes flagellées d’univers aux cicatrices Religieuses, réfléchissent, les filaments aux esthétiques symbolisées, par des contorsions, tordues, infinitésimales, vaporisées d’infortunes logiques, ô églises chirurgicales ou labourent les croyances Chimiques, ô Génétiques d’images peignées, les complexités immaculées, modélisées d’infinis, ô lampes d’amours suicidées, ô digressions… !
