Quai des brumes
Pas à pas la lune naissante
dévoile de tes traits
les plus humbles secrets,
Ô mystérieuse passante,
la brume règne sur le quai ,
seule la caresse obsédante
et pâle de Tanit paresse,
chante la triste goualante,
tes yeux à la vie renaissent
au cœur des ténèbres envoutantes,
ton sourire enjôleur blesse
mon âme et à jamais me hante.