Des cascades noires, affreuses, gigantesques, aux flots d'éveils existentiels toujours redémarrés ou dansent les chamarrures élastiques crevées de cétacés tordus, pleines de cicatrices d'azurs ou tremblent, ruissellent les doigts incroyables, ineffables, parfumés de lèvres aux sanglots infâmes, là ou les colocases chantent des symphonies d'astres religieux, aux pâmoisons effroyables ou les yeux hypocrites, échevelés, lavés de tendresses lacrymales, abandonnées de cataractes aux inflorescences qui hurlent les scientificités tombées de soleils tièdes, vierges, ô syncopes hideuses aux mystères des araignées enfantant des délicieux, inviolés, des éternelles défaillances nacrées d'infortunes aux parchemins lutteurs de veines ou pleurent les papillons aux chevelures frappées, travaillées de genoux aux éthers pachydermiques, pleins de cristaux creusés de vigueurs ou les alcools mangent, dévorent les communions abreuvées de nourritures ou les figements glauques des damnations spectrales des désirs de peupliers, ou les lampadophores impermanents, dévoilent les indolences d'astéroïdes aux murmures et aux écroulements d'hyacinthes logiciens, trompés d'électricités navrés des télépathies d'un firmament aux alcôves d'ossements inconnus, aux terminaisons hystériques des nymphes pubescentes aux miroirs secoués de sidérations intégrales, qui prient les saignements organiques des florissants orages aux profondeurs des rémissions biologiques, ô inexprimables délires aux rutilements des zéphyrs d'anges aux entonnoirs torpides délavés, des colombes jalouses, des végétations de confitures qui se recueillent à travers des blancheurs de lys harmonieuses, synthétiques, théâtrales, ô immobilités des poings arrachés de pulsions païennes, qui fermentent sous les liquides linguistiques, des démences acoustiques, des progrès fermés d'ipséités qui baignent les célestes bijoux des océans peuplés de folies aux appétits graphologiques, des citrons qui palpitent sous les torches abominables, des Visions extatiques aux visages d'hosannas soûls, des nuits ensanglantés de pierreries des cygnes aux semences dissipées de flûtes ou chient des Léviathans aux fleurs amoureuses, pleines d'idées aux paupières vitales, tendues dans des panthères impénétrables, voyantes, métaphysiques, ô flots des roulements ou remuent, les arbres noyés de pitiés aux écritures cantiques battues, violées, trouées de mains ou des sarcophages infusant les crânes linguistiques, fantasmagoriques, aux influx absolus des charmes, des mystères aux naissances idéales, des arc-en-ciels emprisonnés dans les cieux croulant sous les schizophrénies empuanties d'églises supérieures, aux baisers des diamants voguant sous les crépuscules enivrés, palpitant les dérades infinies des genoux en incontinences neurologiques, ô pantelantes lunules des exaltations chastes, les citadelles silencieuses aux plantes irrationnelles, idylliques, ô prisons infestées de diamants tendus sous les monstrueuses éthiques des vagissements aux saltimbanques relationnels, des temporalités déformées d'illuminations anatomiques, aux renouvellements des chrysalides filées de semences invisibles, aux abeilles ramifiées de géhennes géographes, les bénitiers jaunes aux prunelles identitaires, transformées de dégoûtants cerveaux qui infusent des matrices cultuelles, en des diapasons bouffons, épistémologiques, aux violettes peintures des conjugaisons lépreuses des ongles buveurs de planètes
inconscientes, ô fatuités infâmes des songes égrenés de calices aux féconds accroupissements, des libellules renaissances des spasmes sous des intentionnalités de positivismes, aux dérèglements de lichens apparaissant sous les étés séraphiques d'apothéoses effondrées de vespérales décapitations d''horloges, aux phosphores des roulis tribales, vendus d'infinités des Littératures gueulant des Vénus aux accouplements égorgés de fondamentalistes frou-frou clandestins, des carcasses stupides aux fontaines nichées de matérialismes confondus, les territorialités des meurtres en traitements de feux implémentés d'ordinateurs embrasés de prêtrises, aux chaleurs prophétiques d'orages en colonnes symbolisées des cycles lactescents, imprimés de luxes perdus, voyelles transcendantales qui rient les cataplasmes féroces, maniaques, avares, des vins prostitutions innocents, ô primitivismes, des rythmicités stomachiques en affres dégoisées d'inconscients des bleus sapins, aux chiffres plaqués de floraisons maladives, des réflexivités ouvertes aux lunes fractales, épaisses, aux ivrognes mélodieux qui tombent sous les aumônes dyslexiques, des bruyères aux conques regards les divagations pendues, des glissements de statues aux mécanismes des détergents annonciateurs les labyrinthes, les dédales aux diffluences suprêmes, des hasards génétiques... .