Trop longtemps abusé par tes veines promesses
Tu as fait ressuscité en moi cet espoir mort depuis.
Maintenant je me pose en énigme;
Où plutôt en conscience révolté...
Dans le doute qui me fond comme scié en deux.
L'un pense vrai !
Or,
Je lis les souffrances endurées.
Je sais les instants sombrent et larmoyants.
Angoissante réalité qui brise l’élan,
De nous tous faible rêveurs.
L'autre moi pense vrai...
Alors;
Dis oui
Quand je t'implore à t'offrir mon corps.
Dis oui
Quand demain, ensemble, jusqu'à la mort
Déclaré sera mon amour à toi, oublié...