« Les cristaux intelligents de mes pensées dansent avec des chairs d'azurs aux horizons des silences biologiques »
« Je rie des soleils aux virginités des rémissions qui tremblent sous des fleurs vivantes crevant les firmaments inconscients des équilibres étrangers qui pleurent les élastiques de tes chevelures aux poings chimériques abandonnés, ô clochers des songes noyés sous les désirs de tes extravagances printanières qui croulent sous les délires suspendus de tes éveils harmonieux d'éternités des flaques aux nuits tordues, pleines d'effusions des tristesses étranglées de silences ou pleurent les cathédrales vierges de tes murmures profonds aux éternités d'alcôves ou fermentent les religions aux défaillances inouïes de tes yeux ou chantent les gouttes incroyables de tes éclatements ou germent les rêves jaloux par des étranglements acoustiques aux flacons mentaux d'ipséités transis par les blancheurs lumineuses des silences mangeurs de réalités élastiques des éveils aux charités mystiques, des absences aux fleuves mélancoliques en contritions des regards chimiques, ô réalités des étoiles aux indiscrétions orchestrées par les torches rousses aux immenses baisers, ô fragrances des décantations aux murmures d'alcools, ô hystéries temporelles... ! »