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Prison des larmes


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1 réponse à ce sujet

#1 clemouchka

clemouchka

    Tlpsien ++

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  • Une phrase ::Tout est Amour, Dieu est pur Amour.

Posté 17 septembre 2023 - 07:26

« Des parfums d'azur communiaient avec les étoiles accroupies sur les anges biologiques qui dansent »

« Des séraphins en chair pleuraient les bleus degrés théogoniques des racines brûlant les firmaments, aux ailes absentes »

« Des stigmates pleureurs d'yeux idiots, immondes, noirs, hirsutes, déconfits, contorsionnés, puisaient en des cristaux d'éthers, cantiques sublimations des idoles abstraites, décompositions des Littératures personnifiant les hasards ensorcelés, bioéthiques réalités des microbiologies des oublis mythologiques  »

« Des amulettes géométriques aux contritions ou jasaient les torpeurs d'incendies illuminant les flaques de feux en prières, des lyres mentales »

« Des parjures d'astres volaient les cicatrices nerveuses, aux indolences lyriques ou fermentaient les encres aux lèvres hystériques, ô statues recueillant les Baisers estropiés, ô délices biologiques, aux spectres en délires »

« Des phalanges effroyables aux visages peignés d'amygdales délicieuses, aux peintures logiciennes, des noirceurs d'alcools s'écroulant sous les désirs caressant les tiédeurs aux miroirs électriques, ô torches métaphysiques »

« Des extases d'alcôves aux flacons nus, vierges, peinturlurés de méditations, couvant les Visions tribales, des roulements de langue aux pubescences linguistiques, des pâmoisons sidérales, qui hurlaient les peaux noyées, croulant, sous les aspérités familières, des piétés mystiques agenouillées, devant les élastiques temporels, des fragrances déformant les âmes aux Rires de libellules, accrochant les glauques symétries des nénuphars aux rythmicités illuminant, les Puissances étranges, singulières, des botaniques d'Espérances, des végétations infusées, de lactescences neurologiques, aux puits impudiques, atroces, glacés, voilant les nudités, des désastres vivants, craquelés, de Rémissions dépersonnifiant, en-soi, les brasiers aux âcres appétits boursouflés, par les cerveaux organiques, dichotomiques, à sursoir, aux éminences pleines de répulsions, aux poings pendant sur les clartés éternelles, des rutilements brisés, d'astéroïdes excessifs, «menstruelles consciences », des tremblements de vins, aux splendeurs mécanistes élocutoires »

« Des pyramides existentielles, aux hystériques pulsions d'araignées mathématiques, réfléchissant les colombes victimes des chrysalides noires maudissant les cataractes plaquées, lessivées, molestées, modélisées, par des sanglots de vieillards, aux ossements des Libertés, ou fourmillaient les Chevelures gemmeuses, des myosotis aux clystères crépusculaires, mendiant les décantations familières, des Cygnes aux essences grotesques, chimiques, là ou des couleuvres, aux prunelles insondables, indicibles, perclus d'irrégularités épileptiques, aux éclairs d'omoplates saignées, par-delà les cassures métaphysiques, qui manipulaient les fronts télépathes, des hygiénismes Conscientiels, ô littéralités d'hydres phénoménales, cognant les mélanges Narcissiques, des Océans de cerveaux aux naissances de porphyres, ou descendaient les terminaisons jaunes, des aurores fécondées, des traductions de pierreries mentales, aux inconscients perlés d'indiscrétions, aux Vigueurs grouillantes, ensemencées, tournoyantes, des liquides esthétiques jaloux, ô ipséités, des pendentifs déshabillés, dévoilant les pèlerins châtiés, punis, blasphémateurs, sacrilèges, des scientificités de désirs, aux vignes humaines bouffant les balançoires des Justices boiteuses, acosmiques, par-delà les pénétrations insomniaques, musicalités profanes, mécréantes, des récoltes incantatoires, aux sifflements des nectaires impraticables, des insectes ensanglantés, par des pandiculations, aux Mains génétiques, des diamants inconnus »

« Des bouffons désenivrés déchiquetant les mécanistes échines des vacuités intemporelles, ployantes des Mal moléculaires, ô invisibilités hybris, des fièvres à chiffres nourris, consubstantiels, des Divinités aux dégoûts irrationnels, impalpables sotériologies, des grappes humaines Progressistes, aux intériorités filées, des sophistiques primats chimiques, aux pilastres suprêmes, des silences acoustiques, qui « aliénisent, » les cognitions physiques, des pachydermes roux travestit en idées graphologiques divinatoires, aux locomotions déteignant, chirurgicalement, les rachitismes de crapauds névrotiques, abreuvés de nuits déliquescentes, ô terribles orgies mu d'aumônes épistémologiques, aux bavures d'Espérances empuanties, par les dramaturgies, aux complexions de fifres cryptiques, soudoyés, ô voleurs d'ongles aux prostitutions philosophiques des univers dédoublés, aux Espaces matriciels, transmettant des fontaines d'archanges immobiles, là ou rient les violoncelles transparents, ô indiscrets glaïeuls, ou poussent les littératures impalpables, aux gonflements d'orchestrations "mimétisant", les Absolus sémantiques, des traitements de sangs, ou tombent les neiges expérimentales, aux pieds d'une Vénus violette, ô voyances d'horloges comparatives, aux crânes damnés, "arreligieux", ô appétences théologiques, des apothéoses bachiques, des papillons errants, linguistiques, sceptiques, ô filtres, des virgules aux lointains hallalis, ô tabernacles, aux céphalalgies parcheminant, les erreurs lépreuses, joyeuses, des Nirvanas inviolés, passionnels, isolés par rupture Talmudique des Lois "méta-cognitives", ô douleurs gueulant les écoutilles des automatismes microscopiques par démences associatrices des essences auréolées proches d'un cartésianisme alimentaire, des bombes matérialisant les tresses d'ors aux algébriques fonctionnalités, des métabolismes aux chapelets d'antiquités parcheminées, d'abstinences intuitives, ô adorables nuques, aux efficiences futures des chants fauves, ô tapages quantiques, aux hyperboles génocidaires, des maïeutiques aux structuralismes, des diffamations privatisées d'infinies Justices, des labourages griffant, les cieux inharmoniques, fractales, ô schèmes photographiques ! »

 

 

« Les chevelures d'azur pleurent des Baisers jaloux, aux parfums de brasiers capiteux qui dansent sous des murmures de chairs mentales »

«  Les larmes de ton silence embrasent mes nonchaloirs mélancoliques, parcheminés de lèvres qui pleurent »

« Les oiseaux de mes songes intimidés, hurlent les pétales sacrificiels, qui lacrymale les jalousies de tes murmures, aux invisibles visages, qui prient les différences religieuses des torches réflexives, des ailes évanouies »

« Les firmaments étranges s'écroulent, sous les phalanges mystiques de tes fontaines ensanglantées, des mendicités biologiques, des interdits contemplatifs »

« Les cimetières de tes yeux aveuglés gisent, en des insomnies d'arc-en-ciels, qui prophétisent les peaux de tes murmures contrits »

« O connaissances des voyelles chimériques, qui enchantent les créatures mythologiques, par des Océans de charmes, aux présages des sibylles les zéphyrs, ployant sous les sarcasmes des yeux bercés, indolents, des cyprès ravissant, les rousseurs d'horloges aux mystères décomposés, par les alcôves des nuits tendues, comme des végétations existentielles, qui se recueillent d'unicité à présences organiques, des intelligences de cristaux »

«  Des peintures aux contritions éternelles, esthétisent les puissances orgueilleuses, des stigmates aux Libertés dévorées, des flaques constellées d'appétits suspendus sous tes paupières diaphanes, qui égorgent les araignées infâmes, aux calices d'espoirs vitalisés d'obscures convalescences, des statues vierges, qui décompensent, les intériorités des soleils fusionnant, d'avec les délires conspués, des sifflements d'astéroïdes délicieux »

«  Des floraisons d'alcools plaquent les feux expressionnistes, de tes larmes méchantes, cruelles, voleuses des crispations de libellules, aux accroupissements d'amygdales nerveuses, ô biologies des élastiques d'églises, qui intronisent les exhalaisons pâmées des souvenirs, aux communions spectrales, des bohèmes fluant les incendies des aumônes, aux pulsions des lampes aux clartés d'éveils maudissant, les pilastres des nœuds existentiels, qui profanent les lichens morphologiques, des singularités des violons passionnels, qui rutilent sous les échafauds, des céphalalgies primales, ô erreurs inviolées des chrysalides égorgées, par les puanteurs symphoniques, des infâmes décantations, aux tiédeurs infortunées, ô hystéries des photographies pubescentes, qui temporisent les lunes religieuses, des cicatrices polythéistes noyées, par les pénétrations des vins sociologiques, aux degrés maladifs des bénitiers transcendantaux. »

 

 

 



#2 M. de Saint-Michel

M. de Saint-Michel

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  • Une phrase ::Je suis quelqu'un pour qui poésie et respiration ne font qu'un.

Posté 18 septembre 2023 - 11:27

Diluvien!