Il y est il y tient il ouvre la porte l’air circule chaud puissant entre les bras l’air ruisselle semant reprenant tout sonne se disperse lourd obscur finalement sans crier sans dire prenant ce qui reste de temps l’innocence en partage
assoiffé tu arroses d’eau le ruisseau courant prenant le reste des éclaboussures tu es heureux d’y mêler des boucles escarpins le cuir contre la joue escargots au pourrissoir tout ici périrait tout ici finirait tu enlèves les conditions périr finir au-devant au plus loin se comportant dentelles en avance
le cercle les passions les décisions prises orages tourments les décisions prises de l’eau des cailloux à la surface monde en éclats forteresses abandonnées de tourments en rafales l’obsession les cailloux à la surface en avant les pieds le regard tout tourne
ploie le vent les rafales la pluie l’ambition une paire une devant un écho la rive je charme je promets je grandis j’espère tout petit oiseau tout petit enfant qui a une grosse tête
des frissons la joie le froid parti la vie en avance tu renseignes les jours heureux un croisement la lune le chemin,
(tu songes fort Hécate tu consens je soupire),
De rêves en cailloux de moitié en quart le précipice à la barrière le cœur retentit les boucles précises le lien la vie ce qui reste de lumière le grand précipité de fleurs en fleurs insectes chansons animaux imprécis gouttes en aventure silence certitude
tu te poses ici à la croisée espérant l’éternité éternellement éternellement nous le dire en faire encore accroire le calme le repos la glace le feu les illusions la vie sans cesse la lumière la vie tu cherches chacun trouve
sensibles pensifs animaux à rendre reprendre chèvres choux ficelles tout tient ici la toile chanson naïve l’histoire te laisseras-tu mourir pauvre hère pauvre diable troisième dernier larron je croyais être en paradis silence réflexion je tourne tu admires
l’eau déborde des nuages tout est ici tendu balancé tout tiendrait-il l’équilibre la vie sans attache le calme le repos éternellement en avance éternellement recommencer y croire tout comprendre je suis ici je tiens debout je renverse
toi ici ou ailleurs tête penchée en avant le corps incliné tu cherches tu trouves voix éternelle ce qui revient de ton image corps au repos,
(tu songes fort Hécate tu consens je soupire),
Il y est il y tient il ouvre la porte l’air circule chaud puissant entre les bras la pitié le calme le charme ce qui reste de splendeur une avance l’enthousiasme il ignore le paysage ne voit pas encore les sentiments fraîcheur espérance tu te retiens tu commandes aux étoiles astres perdus
(tu songes fort Hécate tu consens je soupire),
Et dire redire un pas de plus en avance.
22 juin 2023.