Je mange des chairs d'azurs ou dansent les abeilles aux cris hystériques
Prient des feux de désirs en peintures cryptiques, qui bavent des tissus d'aurores complexes
Je pleure des étoiles aux chevelures jalouses, se recueillant sous les cristaux aux mains chasseresses
Des décantations linguistiques, qui hurlent les songes aux pétales, des séraphins biologiques
Je me nourris d'asymptotes théâtralités, parcheminées d'aumônes d'oiseaux aux lèvres rousses, qui pensent
Des phalanges d'espoirs, aux tombeaux infinis murmurant des souhaits de comètes nerveuses, qui tremblent
Des cerveaux brûlés de pachydermes acoustiques, qui pleurent des torches précieuses
Aux sarcophages des symboles progressistes, qui oublient les parfums éthologiques, aux onirismes pendus
Sous des décapitations passionnelles, qui nourrissent des alcools fétichistes, aux pendules d'éthers télépathes
Des compréhensions systémiques, qui crèvent les papillons d'entendements sépulcraux, qui croulent
Sous des alimentations polythéistes, aux croyances égrenées par les Souvenirs chimiques, des voyances de licornes
Des esprits réactionnels, primitivistes, larvés de continences structurales, aux déploiements de chrysalides noires
Qui essentialisent des végétations humaines peuplées, de pyramides esthétisations, des lavandes en chairs nourrissant
Des confusions de balançoires d'améthystes intérieures, qui essaiment des neurologiques réalités
Aux doigts tournoyant avec des regards tordus, troublants, inquiétant, aux arborescences fusionnelles
Qui opèrent des archéologies passionnelles, aux voluptés d'hydres constellées, de magnétismes intelligents
Avec les brasiers impossibles, interdits, pâmés sous les mausolées systémiques nébuleux, frôlant des parjures
D' équilibres sociologiques, ô érotisations des pouvoirs mélancoliques, fissurés de nymphes égologiques
Aux transparences différentielles, qui éclatent des soleils singuliers, en délires d'observations décomposées
De langues hybrides, des émanations étranglées d'étrangetés traductrices, de prolongements inessentiels
Qui oublient les licornes aux mendicités mystérieuses, des communications de suggestions athées
Des harmonieuses réciprocités, des recompositions de foi en les personnalités géométriques, des Libertés
Qui accomplissent des degrés recommencés, des contemplations extatiques, qui volent les brasiers
Des Muses de silences dissolvant, des combinaisons littérales, confondant les maïeutiques des adages
Aux stigmates, qui déchainent des incommunicables tentations, des rêves défigurant, les Univers vomitifs
Des difficiles élasticités de pierreries, qui enfantent les aurores des codes, des numériques Présences
Qui égrènent, les libations génétiques des effroyables, épouvantables statues, euthanasiant
Les cycles de cygnes mathématiques, aux terminaisons narcissiques, des vertus de dépossessions
Objectivistes d'impuretés obsessionnelles, lavées de pandiculations subtilisant
Les objectivistes intimidations logiques, des arcs-en-ciels tendus, comme des artefacts transparents
Avec les calices circonflexes théâtralisant, les vins jaloux brisés, de sacrifices aux mélanges
Aux autels ambigus, clairsemés, habillés, enveloppés, de genoux vitalisant, les liens perfectibles
Des citrons relationnels, qui travestissent les Vérités des spectres bohémiens, qui accouchent
En des timidités de jasmins recouvrant, des polyandries esthétisées, qui épurent des araignées d'adieux
Aux Providences travaillant les fondamentalismes trempés, des tempes sécrétrices, des Hasards
Qui apparaissent en matière de syncopes anatomiques, machinistes, des ensembles de bouquets écrasant
Les anomalies de vertèbres traductrices, des symptomatiques imaginaires, improductibles
Des poignets féroces, animales, qui diffusent des paradoxes de traitements, baignés de tresses dissimulant
Les chimères aux champs d'incapacités de liquéfier, d'organiser, les ermitages progressistes, qui s'annulent
Les effarées rencontres des australopithèques bouffant, des isolations d'architectures théogoniques
Des déplacements de faunes, aux clartés cheminant sous les mosaïques, des réflexivités d'oublis théologiques
Des inflorescences mouillées de lys écartelant, des encensoirs allumés de chastetés élévatrices, des blondeurs
Des zéphyrs gondolés par les lourds Océans aux navires jouant, avec les flots aux vagissements, de diamants
Bleutés, qui diversifient, produisent, génèrent, des démences de Beautés irisant, les pores obstétriques
Des vagues muées, en des foudres liquides qui évoquent, ensemencent, des flacons d'ivresses
Face aux territoires, aux géographies symétriques, des matrices des langues de la Nature
Dans ses éternités pénétrant les dérèglements capiteux, des diapasons bleutés, aux radiances
Perfectibles des réalités, des créatures maritimes, aux formes d'orfèvres en contact d'avec les ADN d'ossements
Déconstruisant les transitivités d'un monde aquatique, aux ipséités conductibles, qui « informatisent »
Les noires immortalités des folies cathartiques, qui intronisent les ravissements spéculaires, des fronts roux
Aux hypostases régulatrices des signatures cois, dans des automatismes dédoublant, les réseaux
Des paradis morphologiques, des désastres analytiques, qui illuminent les inclinations purifiées
Des royaumes lourds comme des exhalaisons de printemps, ou la vie écrit ses Destinées de crapauds !... .