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Anatomie poétique des cristaux d'azur éternels !


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2 réponses à ce sujet

#1 clemouchka

clemouchka

    Tlpsien ++

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  • Une phrase ::Tout est Amour, Dieu est pur Amour.

Posté 01 juin 2024 - 07:57

Des oiseaux d'azur dansaient sous les cristaux vivants, qui infusaient des chairs mentales

Traversées de continences religieuses, pâmées de délires roux crevant les firmaments d'adieux

Ou rêvaient des Baisers en syncopes cérébrales, brûlant les onirismes des cathédrales linguistiques

Des adieux d'offrandes invisibles, crachées d'orthodoxies mathématiques, qui perlaient

Des suicides cathartiques, voilant les Océans de végétations théologiques, des phalanges

Intégristes, qui dansaient sous les complexions génétiques, des génocides aux horloges

Qui déchiquetaient, les peintures hypocrites aux âcres impuissances, des cerveaux d'aumônes

Fissurées d'infinis biologiques parfumés, de tabernacles aux éveils extentionistes, courbés

Par les squelettes génocidaires, qui mendiaient des palpitations numériques, des chrysalides élastiques

Ou hurlaient les citadelles gonflées de perfectibilités plastiques irrationnelles, des Mains d'astres

Filant les artefacts primales, des trouées de pachydermes organiques, qui puisaient des équilibres

Illuminant, les zéphyrs métabolisés par les ivresses schizophrènes, des réalités sociologiques

Des mensonges incorporels, qui bavent des électriques cécités mentales, des hybridations

D'informations à cycles brisés de symétriques ossements, des souvenirs mystiques

Qui communiquaient avec les flacons d'ipséités, des relations cryptiques d'infortunes logiques

Aux sacrilèges théogoniques, écroulant les vierges impermanences, des songes identitaires

Qui murmuraient des colombes analytiques, des esthétismes priant les silences, larvés de commissures

Des araignées temporelles, aux douleurs des statues dialectiques qui couvaient, des processus inaliénables

Aux mausolées mimétisant, les Absolus pharmacologiques, des idées d'introversions actualisant

Les libellules gigantesques, illuminant les incroyables crépuscules, des cantiques rougeoyants

Progressistes, des horreurs cabalistiques, qui caressaient les bénédictions, des cataplasmes épileptiques

Gothiques, les clairvoyances des accroupissements figés d'harmonisations, qui convertissaient

Les Libertés déployant les églises aux persiennes cathartiques, qui empuantissent les convulsions

Infâmes des incendies renouvelés en des myosotis, perlés de stupides astrologies, aux balançoires

Des fontaines d'enfantements mécanistes, aux nidations mentales, des souvenirs tordus

Aux regards impénétrables, qui conspuent les édifices présents, des comètes infusées de catalyses

Cartésiennes, qui parjure d'inviolations de soleils aux incantations des nymphes, en vertiges

Des locomotions Passionnées d'hypostases victimes, des résiliences extrêmes, des splendeurs

Pourchassées par les prêtres aux frissons expressionnistes, qui vantaient les neurologiques

Virtualités, des tiédeurs de bénitiers insufflant les gestations, qui tournoient sous les nénuphars

Immobiles, qui végètent, des symphonies d'alcôves épouvantées d'alcools physiologiques

Qui décompensent, les supériorités d'encensoirs athées, vers les égrènes des liqueurs

Aux mémoires, décomposant les babillage des vignes étranglées, de ramifications

Emerveillées d'éthers relationnels, giflés de sidérales logiques, des méditations vastes

Comme les lyres buveuses des bleus degrés, grouillant de pubescences informatiques

Des harmonicas définitifs, qui migrent sous les servitudes de papiers, aux luxes fiévreuses

Qui transmettent, intronisent, des séraphins opprimant les poings sémantiques, des forêts

Des roulements aux chevelures des déformations cantiques, qui obsèdent les rutilements

Des géhennes symplectiques, qui pavoisent des génocides de pendentifs modélisant, les articulations

Concentriques, des visions aux flaques conçues par les cétacés géométriques, ô libations des plantations

D'abeilles involutives sous les amygdales liquides, pleureuses des stigmates, aux peaux fauves

O gueules d'ouvriers, qui blasphèment les nourritures s'évanouissant, avec des torches taxées

De coquillages désolés, les jeunesses absurdes, qui divisent les âmes aux lunules des soupçons

Des voyances noyées, sous les inflorescences, crispées de fermentations, aux floraisons de singes

Démentiels, avec des Rédemptions gemmeuses d'animalités, qui louvoient les matières propédeutiques

Des brasiers introspectifs, lavés d'édifications qui meurtrissent les lacrymales altérités, des Nombres

Cassant les colères d'archers qui prodiguent les importations lépreuses, des aurores inverties d'irréalités

Des hyménées aux crânes fossilisant, les fronts érubescents des mélanges, aux signatures apprivoisées

Par les carcasses fières des épures contraceptives, des stupides germinations transcendantales

Qui transpirent, les étés singularisant les intensifications, des adages providentiels qui produisent

Des violons aux défenses peuplées d'améthystes et perclus, de situationnismes grégaires

Qui empirisent les revolvers inarticulés d'aubes, aux Léviathans sacrificiels, ô dissociations fiscales

Des « ouvertudes » sécrétrices d'imaginaires vengeresses, des transactions diététiques, des absences

Qui pressurisent, les diapasons indigènes des univers évangélisant les psychanalytiques entorses

Des stridences d'exils aux influx démiurgiques, des spectres algébriques qui stérilisent

Les déluges d'ignorances trempées de sarcophages, croyant les jauges comportementales

Des existentialismes gangrenés de clystères à genoux, face aux modernismes des hydres

Copulant avec les inerties des vertèbres projectives d'individualismes, s'avachissant

Devant les Comédies zutiques des synthétiques lampadophores, des ailes fleuries

Par les Romantiques insuffisances, des abstinences, des lucioles probabilistes...

 



#2 M. de Saint-Michel

M. de Saint-Michel

    Tlpsien +++

  • Membre
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  • 13 560 messages
  • Une phrase ::Je suis quelqu'un pour qui poésie et respiration ne font qu'un.

Posté 02 juin 2024 - 09:00

On se laisse délicieusement emporter par cet ouragan verbal!…



#3 Emrys

Emrys

    Médérick

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  • 3 367 messages
  • Une phrase ::Emrys est un de mes trois prénoms
    Médérick est mon prénom le plus utilisé

Posté 02 juin 2024 - 08:40

Oui, une puissante densité des mots

dans des oppositions oxymoriques étonnantes

 

Amitiés à vous Clemouchka