Des oiseaux d'azur dansaient sous les cristaux vivants, qui infusaient des chairs mentales
Traversées de continences religieuses, pâmées de délires roux crevant les firmaments d'adieux
Ou rêvaient des Baisers en syncopes cérébrales, brûlant les onirismes des cathédrales linguistiques
Des adieux d'offrandes invisibles, crachées d'orthodoxies mathématiques, qui perlaient
Des suicides cathartiques, voilant les Océans de végétations théologiques, des phalanges
Intégristes, qui dansaient sous les complexions génétiques, des génocides aux horloges
Qui déchiquetaient, les peintures hypocrites aux âcres impuissances, des cerveaux d'aumônes
Fissurées d'infinis biologiques parfumés, de tabernacles aux éveils extentionistes, courbés
Par les squelettes génocidaires, qui mendiaient des palpitations numériques, des chrysalides élastiques
Ou hurlaient les citadelles gonflées de perfectibilités plastiques irrationnelles, des Mains d'astres
Filant les artefacts primales, des trouées de pachydermes organiques, qui puisaient des équilibres
Illuminant, les zéphyrs métabolisés par les ivresses schizophrènes, des réalités sociologiques
Des mensonges incorporels, qui bavent des électriques cécités mentales, des hybridations
D'informations à cycles brisés de symétriques ossements, des souvenirs mystiques
Qui communiquaient avec les flacons d'ipséités, des relations cryptiques d'infortunes logiques
Aux sacrilèges théogoniques, écroulant les vierges impermanences, des songes identitaires
Qui murmuraient des colombes analytiques, des esthétismes priant les silences, larvés de commissures
Des araignées temporelles, aux douleurs des statues dialectiques qui couvaient, des processus inaliénables
Aux mausolées mimétisant, les Absolus pharmacologiques, des idées d'introversions actualisant
Les libellules gigantesques, illuminant les incroyables crépuscules, des cantiques rougeoyants
Progressistes, des horreurs cabalistiques, qui caressaient les bénédictions, des cataplasmes épileptiques
Gothiques, les clairvoyances des accroupissements figés d'harmonisations, qui convertissaient
Les Libertés déployant les églises aux persiennes cathartiques, qui empuantissent les convulsions
Infâmes des incendies renouvelés en des myosotis, perlés de stupides astrologies, aux balançoires
Des fontaines d'enfantements mécanistes, aux nidations mentales, des souvenirs tordus
Aux regards impénétrables, qui conspuent les édifices présents, des comètes infusées de catalyses
Cartésiennes, qui parjure d'inviolations de soleils aux incantations des nymphes, en vertiges
Des locomotions Passionnées d'hypostases victimes, des résiliences extrêmes, des splendeurs
Pourchassées par les prêtres aux frissons expressionnistes, qui vantaient les neurologiques
Virtualités, des tiédeurs de bénitiers insufflant les gestations, qui tournoient sous les nénuphars
Immobiles, qui végètent, des symphonies d'alcôves épouvantées d'alcools physiologiques
Qui décompensent, les supériorités d'encensoirs athées, vers les égrènes des liqueurs
Aux mémoires, décomposant les babillage des vignes étranglées, de ramifications
Emerveillées d'éthers relationnels, giflés de sidérales logiques, des méditations vastes
Comme les lyres buveuses des bleus degrés, grouillant de pubescences informatiques
Des harmonicas définitifs, qui migrent sous les servitudes de papiers, aux luxes fiévreuses
Qui transmettent, intronisent, des séraphins opprimant les poings sémantiques, des forêts
Des roulements aux chevelures des déformations cantiques, qui obsèdent les rutilements
Des géhennes symplectiques, qui pavoisent des génocides de pendentifs modélisant, les articulations
Concentriques, des visions aux flaques conçues par les cétacés géométriques, ô libations des plantations
D'abeilles involutives sous les amygdales liquides, pleureuses des stigmates, aux peaux fauves
O gueules d'ouvriers, qui blasphèment les nourritures s'évanouissant, avec des torches taxées
De coquillages désolés, les jeunesses absurdes, qui divisent les âmes aux lunules des soupçons
Des voyances noyées, sous les inflorescences, crispées de fermentations, aux floraisons de singes
Démentiels, avec des Rédemptions gemmeuses d'animalités, qui louvoient les matières propédeutiques
Des brasiers introspectifs, lavés d'édifications qui meurtrissent les lacrymales altérités, des Nombres
Cassant les colères d'archers qui prodiguent les importations lépreuses, des aurores inverties d'irréalités
Des hyménées aux crânes fossilisant, les fronts érubescents des mélanges, aux signatures apprivoisées
Par les carcasses fières des épures contraceptives, des stupides germinations transcendantales
Qui transpirent, les étés singularisant les intensifications, des adages providentiels qui produisent
Des violons aux défenses peuplées d'améthystes et perclus, de situationnismes grégaires
Qui empirisent les revolvers inarticulés d'aubes, aux Léviathans sacrificiels, ô dissociations fiscales
Des « ouvertudes » sécrétrices d'imaginaires vengeresses, des transactions diététiques, des absences
Qui pressurisent, les diapasons indigènes des univers évangélisant les psychanalytiques entorses
Des stridences d'exils aux influx démiurgiques, des spectres algébriques qui stérilisent
Les déluges d'ignorances trempées de sarcophages, croyant les jauges comportementales
Des existentialismes gangrenés de clystères à genoux, face aux modernismes des hydres
Copulant avec les inerties des vertèbres projectives d'individualismes, s'avachissant
Devant les Comédies zutiques des synthétiques lampadophores, des ailes fleuries
Par les Romantiques insuffisances, des abstinences, des lucioles probabilistes...