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Prière Mystique Poétique


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1 réponse à ce sujet

#1 clemouchka

clemouchka

    Tlpsien ++

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  • Une phrase ::Tout est Amour, Dieu est pur Amour.

Posté 28 juillet 2024 - 12:10

Seigneur !
Que les larmes de tes créatures brillent sous des chandeliers de gloire, ou s'infuse ton esprit d'émerveillement
Qui communiquent des puits infinis de contritions vierges, aux habillements de louanges
Ou les anges prient des chairs de lumières, pénétrées d'aurores mystiques, avec des lèvres buvant
Les parfums ou pleurent les firmaments enfantant, des colombes pénétrées par les visages d'azur impalpables
Brisés de continences, ou s'écroulent les papillons vierges, aux voluptés mûres, des scintillations célestes
Qui dansent, à travers les nudités cosmiques, de tes phalanges aux ravissements d'innocences, Baisant
Les cœurs suppliciés, sous des visages éphémères, s'évanouissant par-delà les forêts mentales, de tes enfants
Aux soupirs tendus, comme des murmures aux racines guérissant par la grâce, la puissance du Dieu
Ou s'agrippent, les zéphyrs invisibles, se recueillant, avec des singularités symphoniques, qui enfantent
Les mélancolies éternelles des printemps ressuscités, aux ondes mystérieuses qui butinent, les tendresses
De tes caresses fécondes, de tes regards éthérés, ou se déploient les alcools existentiels, aux natures espiègles
Chamarrées, par les voûtes célestes aux paysages constellés, par les contemplations imparfaites
De tes silences déployés, de tes imperceptibles enchantements, aux brises matinales, qui infusent
Des élastiques inconsolables, là ou la sève de la vie aux sourires indéchiffrables, fantasmagoriques
Aux cicatrices des éveils communiant des déferlements, des sillons voleurs d'étincelles, s'agenouillant
A travers des stigmates ensemencés de fragilités, ou sifflent les parchemins fragiles, de tes fondements
Aux nourritures prophétisant des béatitudes, qui sèment des étoiles, ou jaillissent, les ailes immobiles
De tes océans, ou s'égrènent les connaissances, les chimères aux pénétrations consumées, par les insaisissables
Formes irradiant, des apparitions d'extases aux flammes de ton  verbe irrationnel, métaphysique
Aux transformations, de tes abondances aux puissances, ou se déchaînent les tabernacles perlés
De tes nuits ineffables, avec des pyramidales réalités, ou se complexent des corporéités, de tes naissances
Qui bouleversent, les croyances infusées des dérélictions jalouses, sous des torches inconsolables
Des fontaines muées d'énergies intérieures, d'obsessionnelles sécrétions exquises, des fleurs
Sublimes, dardées, de résiliences aux chants de végétations présences, des statues tentatrices
Des fronts de différences qui trouent, transvasent, liquéfient, des genoux incantatoires
Aux énigmes cryptiques, qui modélisent les avortements d'incandescences, morcelées d'apparitions
Ou se filtrent, les harmonicas narcissiques, de tes délectations fissurées, d'aumônes oratoires
Avec des signatures couvant les guirlandes empourprées, rouges, des symboles oniriques
D'exubérances, qui opèrent des miracles intimes, consubstantiels, appliqués d'acoustiques
Sublimations, aux vertiges orthodoxes, des peintures d'incarnations éternelles, aux unicités
Qui drainent, des chevelures bleues cueillant, des lamentations de brouillards physiologiques
Avec des clairvoyances, supplantant, les noirs orgueils des éclatements, des pores inactuels
Qui lavent, les pétales défunts, les providences aux tensions hybrides, émotionnelles,
Qui travestissent, les perles compensatoires, des équilibres lâchés de locomotions
Ou les prêtres, hurlent des spectres proscrits, positivistes, indécomposables, inavoués, en gestations
Qui tombent, sous les lacrymaux méandres comblant les fontaines, aux quiétudes généreuses, nerveuses
Des mendicités, de séraphins indiscrets, des différences jubilatoires, cathartiques
Aux aliénations épileptiques, qui morcèlent des géométriques impuissances, comportementales
Avec des auberges de lueurs, aux convergences migratoires, géographiques, des pieds d'esprits diaphanes
Aux péchés imaginaires, les écartèlements de la nuit aux irisations de squelettes disgrâces
Qui plongent, à travers des torpeurs relationnelles, sous des mains d'espèces mentales
Les vins immortels, qui demeurent perclus d'ignorances religieuses, aux discriminants
Chassant les diamants névrotiques, avec des boucles confidentielles, des cycles adorateurs
Des quintessences modernisant, les flaques des peaux, aux inscriptions mathématiques
Des comètes chirurgicales, qui renouvellent, les cellules d'insomnies, dévoreuses
Des traitements de délires labourant, les Libertés chercheuses, des processus de paix
Avec des opprobres cognitives, qui opposent des pendaisons, des solitudes illuminées
O manifestations vagabondes, des creusets qui combattent les ennemis de la lumière
Dans ses poings d'entendements, aux regards des pierreries jouant, sous des disques d'or
Aux potentialités échographiques, des citadelles travaillées par le Nyx, qui émanent
Sous les troubles d'araignées plastiques, hideuses, laides, avec des lâchetés de chrysalides
Qui décantent, des olfactions égologiques, par les vignes de la destinée, aux fantômes liquides
O respirations des Alphas quantiques, ô oxygénations des affres nucléaires, qui filent
Les vannes prochaines des bénédictions, aux coupoles des artères progressistes
D'accouplements, noyés par les paupières cristallines, aux photographies personnifiant
Les matrices aux karmas athées, ô belligérances nauséeuses, des pesanteurs
Trempées d'oracles capitalistes, ô ruptures des violoncelles structurales
Causales... .



#2 jim

jim

    Tlpsien +++

  • Membre
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  • 985 messages
  • Une phrase ::" Le diable m'a murmuré à l'oreille: Tu ne pourras pas traverser la tempête. J'ai murmuré à l'oreille du diable: Je suis la tempête." ;)

Posté 31 juillet 2024 - 06:34

Bonsoir.

Je ne suis pas très doué en commentaires, je vais donc essayer de ne pas trop en faire et ne m'étendrai pas sur le fond du texte qui n'est pas ma tasse de bénitier.

Je souhaite juste saluer la bonne facture de l'écriture qui a du représenter un sacré travail.

Juste un petit bémol: le choix, sans doute motivé, de la couleur des caractères qui fatigue énormément les yeux.

Voilà.

 

A+

 

jim