« Les soleils dansaient sous des contritions de silences éternels »
« Les chairs étranglées de peaux d'abeilles pleuraient des parfums » »
« Aux signatures gorgées de Nature aux soupirs métaphysiques »
« Sous des tremblements de licornes riant devant les cueillaisons d'abeilles »
« Communiquant des frissons mystérieux d'où tombaient les brasiers »
« Aux visages constellés d'alcools filant des nuits éternelles, incommunicables »
« Là, ou puisaient les colombes pleureuses d'évanescences biologiques »
« Avec des squelettes d'astres communiquant des Baisers aux impalpables »
« Réalités des torches d'azur brisant les papillons amoureux »
« Et, ou les genoux suicidés priaient des parchemins étoilant les hideux squelettes »
« Aux zéphyrs croulant sous les cimetières végétaux, avec des nonchaloirs ésotériques »
« Qui craquaient, sous des brasiers hypocrites, intégrant les paupières constellées »
« De charmes voilant les grands lys aux pouvoirs de résiliences capitalistes »
« Aux saignements des phalanges amoureuses des vins invisibles »
« O réalités des araignées enfantant des cerveaux torpides, aux traitements »
« Des mortifications déhâler par-delà les nourritures sociologiques »
« Des spectres illuminant les pachydermes acoustiques, aux amygdales rousses »