Sa duplicité à son terme
À l’ombre de l’unicité
De son nombre prisonnier
Chacun se rend ferme
Car la solitude mène
La vie dure à tous
Un enfer jusqu’à l’éden
De la mort douce
Sauf… sauf averti par lui
Qu’il en vaut deux si
L’être humain que l’on est toujours
Crois encore en l’amour