Putain, Count Basie, il te plaisait l'orgue Hammond et toi profond pourpre, dont le maître était Jimi et Abba; tu as fondu les ramassis et a accueilli le vicieux sid !! Quelle heureuse entente cordiale, usa:royaume-uni et barbares:"The Kings"
Moi de Guyennne où débuta la guerre de cent ans à une encablure de ma demeure, c-a-d:" la côte du tertre de mon cul " que je grimpais d'un trait;
Je savais que le nouveau monde était proche
La prophétie du branleur Houelbecq est désarçonnée.
Habdulla
Clifton
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Le swing beatnik
12 décembre 2008 - 05:43
Go on
12 novembre 2008 - 10:35

Les rosets sont bleus et le systaime s'envole dans les cosmogories
la violette a fané, Une théologienne est furax
la bible dit :
no more wait, go on men's
verts..oranges..violets...jaunes..rouges..bleus
Comme un éclair
08 novembre 2008 - 10:48
Comme un éclair
Les dernières lueurs du jour tombent, peu après les couleurs halées des réverbères envahissent la ville. L’atmosphère est lourde en ce soir d’été, rue des Lombards. Passants nerveux et hirsutes se dissimulent sous des semblants communs savamments élaborés.
Le regard embrumé, la démarche nonchalante de ses un mètre-quatre-vingt-dix, Bud talonné par ses musiciens entre dans la célèbre chapelle. Il vit à Paris depuis deux ans. Le piano est sa vie, Jouer est sa fuite. Comme un éclair, passer de la souffrance à la lumière.
Les dernières lueurs du jour sont tombées. L’orage se transforme en un souffle chaud, un vent du désert, la magique éclaircie de l’oubli de soi.
Bud, voûté sur le clavier, capture dans son chorus toutes les ivresses de la nuit.
Il faut oublier cette tristesse et telle une maîtresse possessive, chaque soir l’éconduire le plus élégamment.
La musique s’est tue. Au hasard de la rue, naviguent quelques âmes esseulées ou de fins bourgeois bien habillés venus sous la lumière s’enrichir du génie de Bud.
Ainsi communient chaque soir, chapelle des Lombards les curieux et leurs rêves.
Les dernières lueurs du jour tombent, peu après les couleurs halées des réverbères envahissent la ville. L’atmosphère est lourde en ce soir d’été, rue des Lombards. Passants nerveux et hirsutes se dissimulent sous des semblants communs savamments élaborés.
Le regard embrumé, la démarche nonchalante de ses un mètre-quatre-vingt-dix, Bud talonné par ses musiciens entre dans la célèbre chapelle. Il vit à Paris depuis deux ans. Le piano est sa vie, Jouer est sa fuite. Comme un éclair, passer de la souffrance à la lumière.
Les dernières lueurs du jour sont tombées. L’orage se transforme en un souffle chaud, un vent du désert, la magique éclaircie de l’oubli de soi.
Bud, voûté sur le clavier, capture dans son chorus toutes les ivresses de la nuit.
Il faut oublier cette tristesse et telle une maîtresse possessive, chaque soir l’éconduire le plus élégamment.
La musique s’est tue. Au hasard de la rue, naviguent quelques âmes esseulées ou de fins bourgeois bien habillés venus sous la lumière s’enrichir du génie de Bud.
Ainsi communient chaque soir, chapelle des Lombards les curieux et leurs rêves.
Un soir de sentiments étranges
16 avril 2008 - 10:42
Un soir de sentiments étranges
Un soir de sentiments étranges où la maison vide de quelqu’un
Respirait en élan coupé, j’entendis la voix inspirée d’un noir
Déversant son torrent d’émotions dans mes yeux vidés de sommeil
Le regard plafonnant dans la pénombre à baliser des chemins.
Chacun partait aux antipodes du même point et je restais sur place ;
L’exploration a duré longuement en apnée totale d’idées furetant
Le moindre indice pouvant mener à une piste..
Mais il est temps de respirer et de retourner
A mes études contemplatives
Je finirai par dire des conneries
Si cela n’est déjà fait.
Un soir de sentiments étranges où la maison vide de quelqu’un
Respirait en élan coupé, j’entendis la voix inspirée d’un noir
Déversant son torrent d’émotions dans mes yeux vidés de sommeil
Le regard plafonnant dans la pénombre à baliser des chemins.
Chacun partait aux antipodes du même point et je restais sur place ;
L’exploration a duré longuement en apnée totale d’idées furetant
Le moindre indice pouvant mener à une piste..
Mais il est temps de respirer et de retourner
A mes études contemplatives
Je finirai par dire des conneries
Si cela n’est déjà fait.
Voyage rouge sang
27 mars 2008 - 10:05
Du sang
Le sang tombe en cascades
des cimes couvertes de neige
la vieille ruine
refuge
de passants
d'absence
se résoud
au naufrage de l'écarlate
Des migrations carnivores
ont crevé la bannière
hissée en haut lieu
la couche glacière
s'abreuve du sang
des désespérés
et la lave chaude
d'hémoglobine
emporte leurs
folies de raison
Trois bouquetins piétinent
aux bordures du flot
lèchent ce sang
puis escaladent les pierres
en volant sur une perpendiculaire
la fonte est rouge
vive clarté
la soif
l'emporte
un bon vin chaud s'il vous plait
Le sang tombe en cascades
des cimes couvertes de neige
la vieille ruine
refuge
de passants
d'absence
se résoud
au naufrage de l'écarlate
Des migrations carnivores
ont crevé la bannière
hissée en haut lieu
la couche glacière
s'abreuve du sang
des désespérés
et la lave chaude
d'hémoglobine
emporte leurs
folies de raison
Trois bouquetins piétinent
aux bordures du flot
lèchent ce sang
puis escaladent les pierres
en volant sur une perpendiculaire
la fonte est rouge
vive clarté
la soif
l'emporte
un bon vin chaud s'il vous plait