Je n'ai plus que ta voix
Mes fantômes se sont enfuis
Remplacés par le murmure, le filet suave
Qui désormais m'enivre
Bien plus encore qu'un premier amour.
Je ferme les yeux
J'imagine ma main dans tes cheveux, ton cou
Contre lequel je me glisse et tente
De percevoir un parfum qui briserait l'absence
Je m'accroche à l'image
Factice avant que tu ne t'évapores
Je t'inspire toute entière te garde dans mon corps
étrange sensation
C'est avec toi que je me trouble.
Rankezeroxe
Inscrit(e) : 03 mars 2007Hors-ligne Dernière activité : févr. 04 2008 08:01
Informations
- Groupe : Membre
- Messages : 20
- Visualisations : 5 578
- Titre : Tlpsien +
- Âge : Âge inconnu
- Anniversaire : Anniversaire inconnu
0
Neutral
Outils
Amis
Rankezeroxe n'a pas encore ajouté d'ami.
Derniers visiteurs
Publications sur Toute La Poésie
Trouvé sur une clé USB
28 janvier 2008 - 11:07
Pope conne story etc.
07 janvier 2008 - 11:03
La Pop'hard c'est :
Rassembler les débris du quotidien
Les coller sur d'autres petits reins
Arracher une cover style de gare
et ne garder de pli qu'un décri,
c'est surmonter l'insubmersible
Bob'ricard
Rassembler les débris du quotidien
Les coller sur d'autres petits reins
Arracher une cover style de gare
et ne garder de pli qu'un décri,
c'est surmonter l'insubmersible
Bob'ricard
Réponse de Mike Brant après son suicide
06 janvier 2008 - 08:53
"Alors, c'était bien chez Orlando ? "
Laissez-moi vivre ma vie,
Sans contrainte, sans but précis,
Libre de me taire ou de parler,
Libre de partir ou de rester,
Sans rendre compte à tous ces gens,
Sans suivre de règlement et, nonchalant,
Vivre pleinement chaque instant.
Je hais tous ceux qui m'ont menti!
Ces traîtres, ces lâches, ces faux amis.
Je ne pourrai jamais leur pardonner
D'avoir trahi ma confiance en bafouant la vérité.
Je leur crache au visage avec dédain
Et je ne serai jamais plus le pantin
Qu'ils faisaient tourner dans leurs mains.
Et maintenant que tout est dit,
Je dis adieu aux compromis
Et aux épanchements gratuits
De ces amis de comédie.
Maintenant, la solitude, ma seule amie
Est mon refuge, loin des soucis.
Mieux vaut demeurer seul
Jusqu'au jour où enfin
Je n'entenderai plus chanter Dalida.
Mike Brant
Laissez-moi vivre ma vie,
Sans contrainte, sans but précis,
Libre de me taire ou de parler,
Libre de partir ou de rester,
Sans rendre compte à tous ces gens,
Sans suivre de règlement et, nonchalant,
Vivre pleinement chaque instant.
Je hais tous ceux qui m'ont menti!
Ces traîtres, ces lâches, ces faux amis.
Je ne pourrai jamais leur pardonner
D'avoir trahi ma confiance en bafouant la vérité.
Je leur crache au visage avec dédain
Et je ne serai jamais plus le pantin
Qu'ils faisaient tourner dans leurs mains.
Et maintenant que tout est dit,
Je dis adieu aux compromis
Et aux épanchements gratuits
De ces amis de comédie.
Maintenant, la solitude, ma seule amie
Est mon refuge, loin des soucis.
Mieux vaut demeurer seul
Jusqu'au jour où enfin
Je n'entenderai plus chanter Dalida.
Mike Brant
Comédie TLpsienne
03 janvier 2008 - 10:03
tes mots ne sont pas silencieux, ils disent beaucoup de choses à la fois!!!!
au plaisir de te lire .
O MON DIEU,QUE CE TEXTE EST BEAU,EN CE NOUVEL AN,MERCI AUX MAINS CREATRICES DE CETTE BEAUTE,SOLITAIRE
Il y a là quelque chose... Un je ne sais quoi d'épatant. Bravo!
Impressionnant. Voici bien quelque chose que je n'ai jamais réussi à faire tellement c'est difficile. Bravo.
++++++++++++++++
Avec ma maladie, on ne m’a jamais trouvé capable de faire des études suivies.
Des maux cinglants de verités, tout est histoire de derrière, sans jamais se faire prendre . . .
Ah ça, ça commence à devenir de la poésie...un peu de matière à communiquer...c'est y pas mieux comme ça ?
Pardon!
Je n'ai pu détourner le regard
J'ai aimé.
amities
jean claude
amitiés
Henri
Vous devenez charmeur mon ami.
Je ne puis que te répondre que, parfois le bazar est nécessaire.
tente 'la nuit sexuelle' de Pascal Quignard, c'est entre autre un bel objet.
ah, vous z'y êtes enfin
au plaisir de te lire .
O MON DIEU,QUE CE TEXTE EST BEAU,EN CE NOUVEL AN,MERCI AUX MAINS CREATRICES DE CETTE BEAUTE,SOLITAIRE
Il y a là quelque chose... Un je ne sais quoi d'épatant. Bravo!
Impressionnant. Voici bien quelque chose que je n'ai jamais réussi à faire tellement c'est difficile. Bravo.
++++++++++++++++
Avec ma maladie, on ne m’a jamais trouvé capable de faire des études suivies.
Des maux cinglants de verités, tout est histoire de derrière, sans jamais se faire prendre . . .
Ah ça, ça commence à devenir de la poésie...un peu de matière à communiquer...c'est y pas mieux comme ça ?
Pardon!
Je n'ai pu détourner le regard
J'ai aimé.
amities
jean claude
amitiés
Henri
Vous devenez charmeur mon ami.
Je ne puis que te répondre que, parfois le bazar est nécessaire.
tente 'la nuit sexuelle' de Pascal Quignard, c'est entre autre un bel objet.
ah, vous z'y êtes enfin
Méli-mélo TLPésien.
21 décembre 2007 - 09:21
Les cheveux en désordre
Comme des pensées étranges
De mon esprit droit:
Vent soufflant de ma fenêtre,
Envie forte de rêver...
Mais voilà je ne veux pas me taire!
Je veux crier que je n'ai rien a dire,
quitte à vous échauffer les nerfs!
Mais mon silence aurait été bien pire:
j'aurai renié ma liberté d'expression!
Ma vie est un mélange, confus, désordonné
Où tout est le contraire de ce que j'ai rêvé ;
Pour une décision que je prends en journée,
Rien qu'une nuit qui passe, me la fait ajourner.
Pourquoi ce refrain
Ces mots vides de sens
Avec lesquels nous allons
Au pas cadencé vers le néant
Qui est là , qui nous attend
Pour consoler nos fuites
Et légitimer nos faiblesses
Le poème ne rime à rien, qui s’écrit devant la glace.
Comme des pensées étranges
De mon esprit droit:
Vent soufflant de ma fenêtre,
Envie forte de rêver...
Mais voilà je ne veux pas me taire!
Je veux crier que je n'ai rien a dire,
quitte à vous échauffer les nerfs!
Mais mon silence aurait été bien pire:
j'aurai renié ma liberté d'expression!
Ma vie est un mélange, confus, désordonné
Où tout est le contraire de ce que j'ai rêvé ;
Pour une décision que je prends en journée,
Rien qu'une nuit qui passe, me la fait ajourner.
Pourquoi ce refrain
Ces mots vides de sens
Avec lesquels nous allons
Au pas cadencé vers le néant
Qui est là , qui nous attend
Pour consoler nos fuites
Et légitimer nos faiblesses
Le poème ne rime à rien, qui s’écrit devant la glace.