Regards bestiaux : on se cherche
Ma coquine, ma diablesse ;
Submersion de tendresse.
Nos deux corps nus en un rien de temps
Nos âmes gonflantes de bonheur,
Et d'envies : propagation tantrique.
Libido débordante bientôt répandue dans l'air.
Démone,
Je souffle le Chinook sur ton mont de Vénus,
Ma tête bientôt remonte, ténèbreuse insolente
Et je resouffle encore vers ta perfection
Sur ces seins magnifiques où s'éveille ta passion.
Nos instincts réveillés, nos sexes en fusion,
Et mes mains sur tes fesses
Qui remontent lentement
Et s'agrippent à ta peau
Vers le creux de tes flancs.
Je traverse tes songes et j'extirpe le plaisir.
Extase sucrée que ce voyage dans ton corps.
Consommation du désir
Qui absorbe nos chairs
Et nos coeurs chavirés.
Moi ton guide langoureux
Dans le dernier gémissement.
Et puis tout est fini.
Tout se dissipe sauf l'Amour.
Nous, allongés dans ce lit
Toi, alanguie
Moi, qui me dis :
J'aime cette fille,
Oh oui je l'aime...
Therendel
Inscrit(e) : 05 mars 2007Hors-ligne Dernière activité : juil. 01 2020 11:56
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Luxure
19 mars 2007 - 11:07
Espoirs Brisés
19 mars 2007 - 10:24
Ah! Discorde et zizanie
Des gosses qui se soulèvent enfin
Une poignée d'insoumis à la révolte facile
Et bientôt tout un peuple, à qui, au ventre, la faim
A délivré leurs âmes de toute humeur docile
Ah! Chaos et chienlit
Quand les puissants sont incompris.
Babylone la grande sans pitié
Etouffe la révolte, fais la taire.
Estompe cette vindicte populaire
Egorge aussi tous ces pouilleux
Qui te quémandent un quignon d'pain
Ecrase moi donc tous ces vauriens
Tous ces gueux et ces impotents
Ne retiens pas ton bras titan
Et punis leur impertinence...
Cette armée de gamins tremblants
N'a mérité que ta violence
Ah! Justice et équité
Folle Utopie, espoirs brisés.
Des gosses qui se soulèvent enfin
Une poignée d'insoumis à la révolte facile
Et bientôt tout un peuple, à qui, au ventre, la faim
A délivré leurs âmes de toute humeur docile
Ah! Chaos et chienlit
Quand les puissants sont incompris.
Babylone la grande sans pitié
Etouffe la révolte, fais la taire.
Estompe cette vindicte populaire
Egorge aussi tous ces pouilleux
Qui te quémandent un quignon d'pain
Ecrase moi donc tous ces vauriens
Tous ces gueux et ces impotents
Ne retiens pas ton bras titan
Et punis leur impertinence...
Cette armée de gamins tremblants
N'a mérité que ta violence
Ah! Justice et équité
Folle Utopie, espoirs brisés.
Entre Terre Et Ciel
08 mars 2007 - 04:18
Tel un oiseau de braise, incandescent glamour,
Je parcourrai cieux, volant à son secours.
Comme le sage érudit, affamé d'absolu,
Je lui ferai l'Amour, transi et éperdu.
Geôlier de ce grand lit, blanche prison de velours,
J'en cacherai la clef, feignant l'avoir perdue.
Je parcourrai cieux, volant à son secours.
Comme le sage érudit, affamé d'absolu,
Je lui ferai l'Amour, transi et éperdu.
Geôlier de ce grand lit, blanche prison de velours,
J'en cacherai la clef, feignant l'avoir perdue.
Stridence Subliminale
08 mars 2007 - 04:16
L’acrobate lunaire est fatigué
Lui et son romantisme à deux balles,
Sa poésie qui vaut que dalle
Misère de misère je ne suis rien.
Réfugié derrière mes mots
Bien au chaud
Sachant bien que cela ne sert à rien de se cacher toujours,
Ou peut-être simplement à regarder passer le temps,
Et attendre son tour.
Mélancolie immanente qui peu à peu s’échappe,
Comme une envie de crever ce soir
Oh oui pour que tout ça finisse
Car la tristesse n’a de cesse
De me taquiner
Stridence subliminale
Chagrin récurrent qui voile mes propres fins.
Lui et son romantisme à deux balles,
Sa poésie qui vaut que dalle
Misère de misère je ne suis rien.
Réfugié derrière mes mots
Bien au chaud
Sachant bien que cela ne sert à rien de se cacher toujours,
Ou peut-être simplement à regarder passer le temps,
Et attendre son tour.
Mélancolie immanente qui peu à peu s’échappe,
Comme une envie de crever ce soir
Oh oui pour que tout ça finisse
Car la tristesse n’a de cesse
De me taquiner
Stridence subliminale
Chagrin récurrent qui voile mes propres fins.
Enfance
08 mars 2007 - 04:14
Nous revois-tu jadis dans nos manteaux d'ivoire,
Si froids, parfois cruels mais tant naïfs aussi ?
Mais pendant que nos peurs s'affaissaient sous nos gloires,
Nous n'étions rien qu'enfants, monarques de nos vies.
Ah, fol impatients aux sourires indigo
Innocents incertains dans ces champs de bruyère
Nous virevoltions, flottions, libérés de l'étau
De ces parents bourreaux, frappant d'une main de fer...
Si froids, parfois cruels mais tant naïfs aussi ?
Mais pendant que nos peurs s'affaissaient sous nos gloires,
Nous n'étions rien qu'enfants, monarques de nos vies.
Ah, fol impatients aux sourires indigo
Innocents incertains dans ces champs de bruyère
Nous virevoltions, flottions, libérés de l'étau
De ces parents bourreaux, frappant d'une main de fer...