Je te rassure ce pseudo n'a rien à voir avec l'écrivain allemand, à plus.si c toi ki à écrit ça tu changes de pseudo.
Goeth
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Dans la publication : Putain d'oeuf !
23 juin 2009 - 07:26
Dans la publication : Fin, point
13 mars 2009 - 08:39
rien.et alors
Dans la publication : L'amertume
02 août 2008 - 10:14
Bonjour.
Ton texte me permet de te poser une question :
est-ce que tu considères que cet écrit est poétique ? Et si oui pourquoi ?
Je m'adresse directement à toi parce qu'en navigant sur ce forum j'ai pu lire, trop souvent à mon goût, des interventions lapidaires et définitives : "ceci/cela n'est pas de la poésie" sous divers prétextes. Et l'un de ces prétextes est justement l'usage d'un vocabulaire "populaire" et quelques fois "familier".
Je pense que je serai mieux servi par l'auteur sur ce point de technique autant que de ressenti.
Merci.
J'en sais rien et franchement je m'en fout que cela soit poétique ou non, je fait juste ça pour le plaisir, voila, passez un bon week end.
Dans la publication : Les mots noirs
17 décembre 2007 - 07:43
D'ou est-tu ?
De la planète terre.
Dans la publication : Salut Marie.
15 août 2007 - 04:19
Salut a toi
Noble mère,
Mais qui donc est le père ?
Tu sais bien
Cet enfant rendu divin
Par une étrange circonstance.
Est-ce la crainte ?
Ou la honte ?
Fruit de ce mensonge,
Si belle éponge,
Mais quelle mystère.
Ne crains point
Ma vénérable personne,
Ton secret
Je le protègerai,
Ce secret à laisser sous scellé.
Tu ne vois rien Marie ?
Mais serais tu aveugle ?
Cette pauvre chose
Qui beuglait sur la croix,
Qu'il avait l'air fou,
Et tout ce sang,
Cette couronne,
Le bois de cette croix,
Et ce mensonge
Que tu lui inculquas,
Pauvre homme,
Son père véritable
Ne valait sûrement pas mieux
Que ces gens qu'il méprisait.
Honte à toi,
Vieille menteuse,
Mais que d'imagination
LÃ je ne dirai pas le contraire,
C'était d'une rare efficacité.
Si la vérité révèlée
Alors qu'il hurlait le nom
Du plus populaire
De tout les fantômes,
Peut-être sa colère
Et son dégoût
Aurait était d'une tel intensité
Que toi
Ignoble menteuse,
Prise d'une soudaine rage,
Aurait enfoncé
Plus profondément encore
Dans ses chairs meurtries,
Ces clous,
Et saisi une lance
Afin de lui transpercer le coeur,
Mais quelle infinie douleur
Que cette vérité,
Les clous et la lance
N'auraient alors pas servi à grand chose.
Ô Marie je te salue,
Mes considérations les plus sincères.