A force les manques
Laissent des marques
Jusqu'au trou béant
Qui ressemble au néant
laura vanel-coytte
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A force
24 septembre 2008 - 03:06
L'automne
23 septembre 2008 - 04:40
Ecrire, décrire un jardin en automne
N’est pas une tâche facile
Après les grands poètes :
La « langueur monotone » de Verlaine
« Pareil à la feuille morte »
Le verre d’Apollinaire
Qui se brise « comme un éclat de rire »
Ce vers « comme un cœur que l’on brise »
Le « rouge automne » de Théodore de Banville
« Il automne » chante Barbara magique
Vincent di Sanzo fait sa « cueillette automnale »
L’ « automne de la vie » de Gabin l’inoubliable
Les oiseaux et les arbres de Gilles
Vigneault. Le vent triste d’Emile
Nelligan. La saison qui décline
De Victor Hugo. Comment rivaliser avec Baudelaire
Et son chant d’automne ?
Dire peut-être
La douceur de l’automne
Marocain, les jardins qui se vident
A la rupture du jeûne
Seuls les oiseaux animent
Encore les fleurs –flammes
Et les palmiers-perches
Vers le ciel bleu rêve.
N’est pas une tâche facile
Après les grands poètes :
La « langueur monotone » de Verlaine
« Pareil à la feuille morte »
Le verre d’Apollinaire
Qui se brise « comme un éclat de rire »
Ce vers « comme un cœur que l’on brise »
Le « rouge automne » de Théodore de Banville
« Il automne » chante Barbara magique
Vincent di Sanzo fait sa « cueillette automnale »
L’ « automne de la vie » de Gabin l’inoubliable
Les oiseaux et les arbres de Gilles
Vigneault. Le vent triste d’Emile
Nelligan. La saison qui décline
De Victor Hugo. Comment rivaliser avec Baudelaire
Et son chant d’automne ?
Dire peut-être
La douceur de l’automne
Marocain, les jardins qui se vident
A la rupture du jeûne
Seuls les oiseaux animent
Encore les fleurs –flammes
Et les palmiers-perches
Vers le ciel bleu rêve.
Dans ma petite maison d'Irlande
23 avril 2007 - 09:13
Dans ma petite maison d’Irlande
Je me vois, je me rêve, je m’imagine
Personne ne sait comment ils m’ont déchirée
Personne ne croie que je les ai aimés.
Ceux qui disent qu’il faut tout donner
Ne savent pas, car à force de se livrer
On finit par se perdre et ensuite
On a du mal à retrouver son âme.
La blessure d’amour n’est pas grave pour moi
C’est la cassure de l’âme qui me broie
Et me donne envie parfois de hurler la nuit
Quand je pleure et que le sommeil me fuit
Laissez-moi s’il vous plait me reposer un peu
Dans ma petite maison d’Irlande
Je vous y inviterai si un jour je le peux
Si mon âme, mon amie, me permet de le faire.
Ce poème a obtenu le 3 e prix au Concours Poésie-Passion 2004.
Je me vois, je me rêve, je m’imagine
Personne ne sait comment ils m’ont déchirée
Personne ne croie que je les ai aimés.
Ceux qui disent qu’il faut tout donner
Ne savent pas, car à force de se livrer
On finit par se perdre et ensuite
On a du mal à retrouver son âme.
La blessure d’amour n’est pas grave pour moi
C’est la cassure de l’âme qui me broie
Et me donne envie parfois de hurler la nuit
Quand je pleure et que le sommeil me fuit
Laissez-moi s’il vous plait me reposer un peu
Dans ma petite maison d’Irlande
Je vous y inviterai si un jour je le peux
Si mon âme, mon amie, me permet de le faire.
Ce poème a obtenu le 3 e prix au Concours Poésie-Passion 2004.
L'enfant a laissé
21 avril 2007 - 11:16
L’enfant a laissé glisser ses larmes
Sur le soleil de mon bonheur.
Ses mains ont bougé un peu
Et puis il a crié très fort
Il avait mal et je ne pouvais rien faire
Attendre et essuyer le sirop de lune
Qui coulait sur ses lèvres
Je l’ai laissé partir loin de moi
Sur le soleil de mon bonheur.
Ses mains ont bougé un peu
Et puis il a crié très fort
Il avait mal et je ne pouvais rien faire
Attendre et essuyer le sirop de lune
Qui coulait sur ses lèvres
Je l’ai laissé partir loin de moi