femme

Outre son dos de la vieille époque,
Notre gibbeux est piètrement taillé comme un os.
Pritos le bossu a le cul périmé comme protoss.
Son père le candé violeur est albinos.
Un jour, il a tiré sur des bébés rinhesros,
Et les a injustement assassiné à coup de bastos!
Pritos le telptien descend du moustique,
Et fume d’énormes bites en plastique.

Du brome pour vos culottes, j'en ai beaucoup !
Les jaunes qui noient les formes au soleil,
Soufflent à mon biseau la brise du sommeil.

De la purulence pour vos slips, j'en ai beaucoup!
Les opalins humectés par l'orgie de mon cor,
Otent en silence l'unité de mon corps.

De l'amadou pour vous strings, j'en ai beaucoup!
Le rouge carmin aux reflets bleus mandarine
Aux roses de ma voisine ! La sainte pèlerine.

De l'aumône pour vos shorts, j'en ai beaucoup!
Et sur l'âtre des plumes d'indiens, adoucis par mes caresses
De femme! Nées aujourd'hui de ma sainte ivresse.

Du pétrole bouilli pour vos falzars! J'en ai beaucoup
Le noir ivoire d'une crotte mâchée par l'anus!
Chiée par une momie née au mont de vénus.

Ne se ramasse pas comme un caillou
Ne se porte pas comme un vieux bijou
N’y touchez pas, je vous prie
Laissez-le seul une minute
Il se fait pousser des ailes autonomes
Pour devenir l’égale de son ami le géranium
Laissez mon poème, je vous prie
Si vous abîmez son étoile chérie
Vous commettrez une connerie
Et vous risquerez alors qu’il vous dispute

Ce n’est probablement personne
Toujours seul, il porte sa couronne
Libre il –est , mon poème, dans sa solitude
Seul, ainsi dans nos jardins de béatitudes
Il porte à vie le secret de ma couronne

De juliennes, il est toujours brodé
Et baigne entre mille symboles codés
N’insistez- pas, je vous prie !
Gardez, l’obole de votre esprit fauché.
Mes vers ne sont pas aux prix d’un papillon
Ne voyez vous pas ses plumes d’oisillon
Ne voyez vous pas ces traits vermillon
Etes- vous, donc aveugle.
Devant le miroir de ma beauté.

Les dents persifleuses, muselées de toute part, tantôt avec du papier toilette atour et tantôt avec des préservatifs en caoutchouc, ou si tu préfères des capotes réutilisables de façon légale sur toute statuette orpheline, âgée de moins de deux siècles.
Sous tension nucléoprotéine, sa queue en forme diagonale est couverte d’une poudre végétale, et est hissée même parfois comme un vieil étendard dans les mains d’un nain chevalier, cong le merveilleux, le lépreux et méchant petit roitelet est certes gueux !! Il dit souvent dédaigner passablement les ombres papillonnées de ton sourire astral. La peau bébé de son dos immunisé fait de lui un gorille peu sociable, et peu ordinaire vous dis –je, oui bien peu commun en son genre, puisque il est assez rare de rentrer en communication avec lui, et si vous n’êtes pas communiqué par voie anale, ou connecté à cœur aux maintes soupapes olympiques, cette opportunité ne vous sera jamais donné un jour.
King est tout simplement le gueux parfait, un Spicemen discret comme il le dit lui même, plutôt honnête et peu bavard en évidence, mais pas assez abruti pour oublier le prénom de chaque poil qu’il porte sur son torse royal. Son urine de nature extensible s’étire comme un rayon solaire ! Elle est approximativement visqueuse et est d’une odeur carbonique, selon une prophétie ancienne. Sa royale haleine est souvent efficace pour que le trouble des éloquentes pédérasties puisse à lui seul provoquer sa perversité morale, et plus encore, si j’ose l’affirmer, pour apprivoiser l’indomptable larve qui mouille ses impressions hilares !!Impressions caractérielles appropriées à son espèce, et donc par logique à son profil légendaire, qui fait de lui une bête sauvage parmi tant d’autres, moderne toutefois et imposante sur le devant d’une scène où Barbie la prostituée, s’affairerait à personnifier son anus. King cong est plus kong que king, mais il a tout pour lui, du moins tout pour me plaire !! Tout pour envoûter un vieux chevreuil en bonne santé, tout pour attirer une sardine vers les profondeurs de mon océan séminal, tout, mais en attendant que mon chameau à triples bosses en chantilly soit épargné, j’espère que le vicieux cong pourra un jour me le remettre en liberté, et cesser pourquoi pas entre temps de le traiter inutilement comme une poupée gonflable. Qu’il me rend mon adorable chameau à la peau basanée tachetée de petits coeurs !! Qu’il me le rend une fois pour toute, et sans condition en contrepartie, car comme on en parle peu dans les médias, mon voyage vers la planète mars, ne peut avoir lieu sans ce dernier. A cause de cong le brave, je ne peux et ne pourra jamais chasser les sauterelles dans le désert martien, et moins encore le loup garou idéal pour garder mon élevage de dragons. A cause de king je suis foutue, et je ne peux rien faire pour le moment.

Électryon, ainsi, méjuges-tu ton inutilité!
Toi l’érudit, l’ignorant savant de rien
Électryon fils de Persée et d'Andromède, roi de Mycènes
Est-ce donc ta bien aimée, ta fille Alcmène,
Qui te rend si aveugle face à tout

Injuste, malhonnête ici ou ailleurs et partout!
Est ce cela ton secret ! Tare fertile du non sens!
Tare qui eut nourrit les chiens de l'enfer !
Toi, tout comme Amphitryon fils d'Alcée et roi de Tirynthe
Toi tout comme Alcmène, l'épouse d'Amphitryon
Électryon, qu’on eut tissé dans le noir obscure
De nos illusions gemmées de bravoure et de courage!

Ignorance impie toi Électryon
Je jure de te maudire toute ma vie!
Je jure de noyer ta légende dans l’océan de la vérité!
Le tout de la science et de la vérité !