Te voilà plus froide que ton verre et ses glaçons
Qui tournent et tournent et tournent
Tes doigts crispés sont blancs jusqu’aux jointures
Alors je crie et les bris du verre
Arrosent de sang ta main tendue, ouverte
A ma langue chaude et salvatrice
cave canem
Inscrit(e) : 29 mars 2007Hors-ligne Dernière activité : avril 17 2007 10:13