À la Maîtresse
Je rêve de la regarder,
Ma dame, ta formidable fleur;
Des amours, un jour, d'aborder;
C'est toi qui j'aime, ton si bon cœur!
La beauté calme et toute aimante,
Tes yeux câlins me font bander.
Je rêve de ta fleur ravissante,
J'ai l'envie male de la téter.
Ô ils sont beaux tes yeux troublants,
Les mûrs tétons, les genoux blancs;
Ta chair est comme un lait tiède.
Il me torture, ce doux attrait
Et j'ai toujours des vœux mauvais;
Ma dame, je t'aime, je reste tout bête.