Avec mes amis célibataires, j’ai une petite tradition
Qui est de passer tous ensemble cette maudite Saint Valentin
C’est là une fameuse occasion
D’oublier notre chagrin
Chaque année nous avons un thème
Il y a 2 ans c’était les poèmes
Nous devions composer chacun
Quelques vers pour les lires en commun
Pas de la grande poésie
Juste un petit délire verbal
Nous avons beaucoup rit
De ce que nous avons appelé nos « poèmes à 2 balles »
Et parfois en rentrant à la maison
Ou bien alors au bureau
Je suis prise d’inspiration
Et leur envoi mes mots par texto
Et puis un jour je me dit qu’après tout
Pourquoi ne pas en faire profiter
Quelques internautes qui auraient le goût
De partager ce penchant léger
Mais quel étonnement quand je lis
Les œuvres de tous ces auteurs
Rares sont les poésies
Remplies de joie et de bonne humeur
N’y a-t-il point de poète heureux ?
Poésie n’est quand même pas synonyme de dépression !
Il est vrai que les sentiments nous travaillent quelque peu
Mais pourquoi ne pas le prendre parfois avec dérision ?
poemes a 2 balles
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un peu de gaieté bon sang!!
16 avril 2007 - 05:10
l'apéro
16 avril 2007 - 03:45
Cling cling !
On m’a appelé ?
Je vois tout le monde s’abreuver
Assis comme autour d’un ring
Où au milieux se battent les verres
Les bouteilles et les gâteaux
Il y en a jusque par terre
Ha bha oui ! c’est l’heure de l’apéro !
On m’a appelé ?
Je vois tout le monde s’abreuver
Assis comme autour d’un ring
Où au milieux se battent les verres
Les bouteilles et les gâteaux
Il y en a jusque par terre
Ha bha oui ! c’est l’heure de l’apéro !
Un seul à la fois, merci!
16 avril 2007 - 03:44
Ha non mais regarde les ces idiots !
Ils veulent faire la bête à 2 dos…
Ils ne pouvaient pas venir plus tôt ?
Qu’ils continuent et je leur jette un seau d’eau !
Maintenant c’est moi qui les distribue les râteaux
Je veux un homme pas un fardeau.
Mais qu’ils sont mal organisés…
Je les ai attendus pendant des années
C’était pas à mon balcon qu’ils se bousculaient !
Plutôt à celui d’une blonde peroxydée
Mais le coup a été mal calculé
Hé oui, l’entretien d’une blonde, c’est salé…
Alors que moi je ne demande pas beaucoup :
L’entendre prononcer parfois quelques mots doux
Etre morts de rires devant « la soupe au chou »
Garder mes amis pour aller boire un coup
Tolérer que devant les copains je l’appelle « Chouchou »
Puis enfin me laisser lui passer la corde au cou…
Ils veulent faire la bête à 2 dos…
Ils ne pouvaient pas venir plus tôt ?
Qu’ils continuent et je leur jette un seau d’eau !
Maintenant c’est moi qui les distribue les râteaux
Je veux un homme pas un fardeau.
Mais qu’ils sont mal organisés…
Je les ai attendus pendant des années
C’était pas à mon balcon qu’ils se bousculaient !
Plutôt à celui d’une blonde peroxydée
Mais le coup a été mal calculé
Hé oui, l’entretien d’une blonde, c’est salé…
Alors que moi je ne demande pas beaucoup :
L’entendre prononcer parfois quelques mots doux
Etre morts de rires devant « la soupe au chou »
Garder mes amis pour aller boire un coup
Tolérer que devant les copains je l’appelle « Chouchou »
Puis enfin me laisser lui passer la corde au cou…
Mon bel inconnu aux bras magnifiques et au visage fascinant
16 avril 2007 - 03:37
La première fois que je t’ai vu c’était dans un bar
Tu me tournais presque le dos
Je te voyais de trois quarts
Je ne t’ai pas trouvé beau
J’ai flashé sur tes bras
Ce n’est pourtant pas une coutume chez moi
Mais leur galbe m’a séduit
Tu m’as donné envie
De me blottir dedans
Depuis j’y pense souvent
Je pense aussi à ta bouche
Qui donne envie qu’on la touche
L’effleurer du bout des doigts
Y poser mes lèvres
Caresser ta joue
Descendre un peu plus bas
T’enlacer comme dans un rêve
T’embrasser dans le cou
Ta peau semble si douce
Tes bras si puissants
Mais tu parais si froid
Tu sembles trop distant
Alors je n’ose pas
De peur de me prendre un vent
Je t’ai revu plusieurs fois
Dans un pub que j’aime bien
J’étais contente que tu sois lÃ
Même si pour moi tu étais trop loin
J’ai bien essayé de te lancer quelques regards
Mais tu tournais froidement la tête
Peut-être qu’une fille qui drague dans un bar
Tu trouves ça trop facile pour être honnête
Autant faire de l’œil à un congélateur
J’aurais sûrement plus de chance
D’y réchauffer mon cœur
Qui peine en ton absence
Tu me tournais presque le dos
Je te voyais de trois quarts
Je ne t’ai pas trouvé beau
J’ai flashé sur tes bras
Ce n’est pourtant pas une coutume chez moi
Mais leur galbe m’a séduit
Tu m’as donné envie
De me blottir dedans
Depuis j’y pense souvent
Je pense aussi à ta bouche
Qui donne envie qu’on la touche
L’effleurer du bout des doigts
Y poser mes lèvres
Caresser ta joue
Descendre un peu plus bas
T’enlacer comme dans un rêve
T’embrasser dans le cou
Ta peau semble si douce
Tes bras si puissants
Mais tu parais si froid
Tu sembles trop distant
Alors je n’ose pas
De peur de me prendre un vent
Je t’ai revu plusieurs fois
Dans un pub que j’aime bien
J’étais contente que tu sois lÃ
Même si pour moi tu étais trop loin
J’ai bien essayé de te lancer quelques regards
Mais tu tournais froidement la tête
Peut-être qu’une fille qui drague dans un bar
Tu trouves ça trop facile pour être honnête
Autant faire de l’œil à un congélateur
J’aurais sûrement plus de chance
D’y réchauffer mon cœur
Qui peine en ton absence
La salle de sport
16 avril 2007 - 03:35
Allez, demain matin je vais au sport
En même temps je sens que je vais rigoler
Il n’y a pas que moi qui fait des efforts
Il y a aussi le barbiquet
Je le vois, là , qui brasse de l’air
Quand il n’est pas collé au cul de la prof
Ça joue le mec super
Mais franchement… Bof…
Il se démène comme un fou pendant 30 secondes
Puis se pose et prend le journal
Probablement pour y lire les nouvelles du monde
La page des sports c’est trop banal !
Et puis il y a son copain aussi
Avec sa tête de prétentieux
Il est moins assidu que lui
Sûrement parce qu’il n’est pas amoureux
De la belle qui fait tourner les têtes
Et surtout baisser les yeux
Des hommes qui plantent leurs mirettes
Dans son poitrail très généreux
Ou bien ils sont naïfs
Ou alors amateurs
Des bustes fictifs
Car en effet ce n’est qu’un leurre !
Ça se voit gros comme une maison
Gros comme ses poumons
Mais on ne me la fait pas à moi
Des trucs comme ça, ça s’peut pas !
En même temps je sens que je vais rigoler
Il n’y a pas que moi qui fait des efforts
Il y a aussi le barbiquet
Je le vois, là , qui brasse de l’air
Quand il n’est pas collé au cul de la prof
Ça joue le mec super
Mais franchement… Bof…
Il se démène comme un fou pendant 30 secondes
Puis se pose et prend le journal
Probablement pour y lire les nouvelles du monde
La page des sports c’est trop banal !
Et puis il y a son copain aussi
Avec sa tête de prétentieux
Il est moins assidu que lui
Sûrement parce qu’il n’est pas amoureux
De la belle qui fait tourner les têtes
Et surtout baisser les yeux
Des hommes qui plantent leurs mirettes
Dans son poitrail très généreux
Ou bien ils sont naïfs
Ou alors amateurs
Des bustes fictifs
Car en effet ce n’est qu’un leurre !
Ça se voit gros comme une maison
Gros comme ses poumons
Mais on ne me la fait pas à moi
Des trucs comme ça, ça s’peut pas !