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Le silence se sacrifit sur l’autel
Sans même offrir ses complaintes
Aux arbres pleurnicheurs
Qui se sont plantés debout
Aubord du ruisseau des yeux
Son sang au gré du vent
Se perd se mêle
Dans les incantantations de battements
D’ailes d’oiseaux migrateurs
Loin des remues-ménages du monde
Le silence porte la quintescence
Du rêve de l’aurore
Qui trouve sa couleur dans chaque regards globuleux
Des étoiles-foetus
Mes craintes prenant de l’embonpoint,
Mes angoisses obèses sont toutes sculptées
Sur les écorces des poils mouillés de rosées:
Éjaculations de mes solitudes abondantes
Dès lors les oiseaux migratoires
Qui draquent le bleu-amant du ciel
Partagent le même toit
schleiden
Inscrit(e) : 21 avril 2007Hors-ligne Dernière activité : mars 04 2011 07:22
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Publications sur Toute La Poésie
SILENCE
25 avril 2007 - 02:54
maux
24 avril 2007 - 04:03
Les gestes des maux me foudroient de colèresSur la couche de mes yeux remplis dos-râgeJe tombe de la douleur Qui engrosse mon sourire mineurMalgré tout chaque jour qui chavireJe cours comme un fou après mes strippesQui lancent des pierres derrièresCette étoile qui s'abreuve Dans la source puante de ma bave Mon sexe tousse enfin de compte entre mes mains Quand l'amour tout feu toute flammeCherche l'origine de mon âme Le vent souffle jusqu'à rendre l'âme Sur le côté de la falaiseLa raison laisse couler le sangLa foi se laisse saoûlerMême si l'homme ignore la couleur De la couverture de sa peine On n'aurait pas dû l'éditerMa face s'est cachée dans l'unité monétaireDe la folie murmurante Je ne suis pas de moi-mêmeJe suis de ce même regard de tremblement de ciel
