La vie m'a appris ceci
Toujours éviter le mépris
Cultiver la compassion
Tolérance et comprehension
Ne pas se faire d'ennemis
Et entretenir ses amis
Car seul on ne peut vivre
Si de joie on veut être ivre.
Rester toujours soi-même
Assumer ce que l'on sème
Et si cela ne nous plait pas
Alors s'améliorer on doit
Car jamais on ne se perd
Sur une route sans impairs
Ce sont les chemins accidentés
Qui seuls élèvent nos pensées.
mon_ami_ben
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La vie
27 avril 2007 - 08:41
demon
27 avril 2007 - 08:33
Suis-je seulement prêt
A lever heaumes et glaives
Vers ce monstre transcendant
Qu'est devenu avec le temps
L'être étrange qui se cache
Quelque part au fond de moi
Serais-je un jour capable
De tenir fièrement en laisse
Ce monstre si impitoyable
Que representent toutes mes pensées
Ces pensées qui sans cesse me blessent.
A lever heaumes et glaives
Vers ce monstre transcendant
Qu'est devenu avec le temps
L'être étrange qui se cache
Quelque part au fond de moi
Serais-je un jour capable
De tenir fièrement en laisse
Ce monstre si impitoyable
Que representent toutes mes pensées
Ces pensées qui sans cesse me blessent.
Mon aimée
27 avril 2007 - 08:25
Mon aimée, ma chair, mon amante,
Reçoit ces mots hésitants dans l'attente
D'une place dans ta vie dans ton coeur
Car de t'aimer aujourd'hui je n'ai plus peur
Je regarde tes yeux pleins de tendresse
Et j'en oublie les miens pleins de détresse
Reçoit ces mots hésitants dans l'attente
D'une place dans ta vie dans ton coeur
Car de t'aimer aujourd'hui je n'ai plus peur
Je regarde tes yeux pleins de tendresse
Et j'en oublie les miens pleins de détresse
Sauveur ?
27 avril 2007 - 07:54
Cette main vers vous tendue,
Aujourd'hui vous la prenez
Pour une promesse toujours tenue
Et j'en suis plus qu'honoré.
Pour un sauveur vous me prenez
Mais de vous-même je ne peux vous sauver
Je ne suis vraiment que l'allumette
Qui allumera cette flamme en votre tête.
Je ne fais que remonter le courant,
Le courant de votre volonté de vivre,
vous restez maître de votre temps,
Celui où de joie vous serez ivre.
Vous aurez decider d'arracher
De vous-même, cette pelle
Des mains de cet être caché,
Tapis au fond de vous ma belle.
Celui qui vous tirait vers le bas
Aujourd'hui vous le connaissez
De le maitriser vous avez le droit
Et l'anéantir à jamais vous devez.
De vous-même vous vous sauverez,
Et je ne peux que vous y aider
Et en moi vous trouverez
La perche, le bord où vous agripper,
Quand au fond vous vous sentirez couler,
Je serais là toujours pour vous remonter,
Plus jamais en noir vous ne verrez le monde
Car aujourd'hui de lumière je vous innonde.
Devant moi vous baisserez vos défenses,
Vous pouvez car jamais aucune offense
A vous je ne pourrais, ni ne saurais faire.
Mais je veux, en vous, ce demon faire taire.
Un regard une fois échangé
Une main une fois effleurée
Des mots jamais prononcés
Une chose toutefois est née.
Plus jamais seul je ne vous laisserais
Face à ce trou béant que vous même creusiez
Et dans lequel votre coeur se perdait,
Malgré tout les efforts que vous faisiez.
De le reboucher ensemble nous entreprendrons,
Enfin si de moi à vos cotés vous désirez
les fossoyeurs de votre mal nous deviendrons
Enfin, si toujours votre volonté vous gardez.
Ne voyez pas en moi le sauveur mais l'ami,
Car aucunes prétentions je ne saurais avoir,
Mais sachez qu'Ã vous je reste uni,
Car de vous je refuse le desespoir.
Seul cet espoir à fait revenir
Du fond de vous ce si joli sourire,
Celui d'aimer la vie,
De l'aimer ici et aujourd'hui.
Car de votre bel avenir,
Vous avez choisi de devenir
Non pas pauvre spectatrice
Mais bien la principal actrice.
Aujourd'hui vous la prenez
Pour une promesse toujours tenue
Et j'en suis plus qu'honoré.
Pour un sauveur vous me prenez
Mais de vous-même je ne peux vous sauver
Je ne suis vraiment que l'allumette
Qui allumera cette flamme en votre tête.
Je ne fais que remonter le courant,
Le courant de votre volonté de vivre,
vous restez maître de votre temps,
Celui où de joie vous serez ivre.
Vous aurez decider d'arracher
De vous-même, cette pelle
Des mains de cet être caché,
Tapis au fond de vous ma belle.
Celui qui vous tirait vers le bas
Aujourd'hui vous le connaissez
De le maitriser vous avez le droit
Et l'anéantir à jamais vous devez.
De vous-même vous vous sauverez,
Et je ne peux que vous y aider
Et en moi vous trouverez
La perche, le bord où vous agripper,
Quand au fond vous vous sentirez couler,
Je serais là toujours pour vous remonter,
Plus jamais en noir vous ne verrez le monde
Car aujourd'hui de lumière je vous innonde.
Devant moi vous baisserez vos défenses,
Vous pouvez car jamais aucune offense
A vous je ne pourrais, ni ne saurais faire.
Mais je veux, en vous, ce demon faire taire.
Un regard une fois échangé
Une main une fois effleurée
Des mots jamais prononcés
Une chose toutefois est née.
Plus jamais seul je ne vous laisserais
Face à ce trou béant que vous même creusiez
Et dans lequel votre coeur se perdait,
Malgré tout les efforts que vous faisiez.
De le reboucher ensemble nous entreprendrons,
Enfin si de moi à vos cotés vous désirez
les fossoyeurs de votre mal nous deviendrons
Enfin, si toujours votre volonté vous gardez.
Ne voyez pas en moi le sauveur mais l'ami,
Car aucunes prétentions je ne saurais avoir,
Mais sachez qu'Ã vous je reste uni,
Car de vous je refuse le desespoir.
Seul cet espoir à fait revenir
Du fond de vous ce si joli sourire,
Celui d'aimer la vie,
De l'aimer ici et aujourd'hui.
Car de votre bel avenir,
Vous avez choisi de devenir
Non pas pauvre spectatrice
Mais bien la principal actrice.
TOLERER
27 avril 2007 - 07:28
Dur est la vie, facile est la mort.
Mais aucune mort n'efface les torts
Accumulés durant une vie entière,
Une vie dont on ne peut être fier.
Lorsque vient la conscience
Et que nous aident les sciences
Pour comprendre et aimer le monde
Notre esprit s'apaise, la lumière innonde.
Comprendre, aimer, tolérer,
Vous ne pouvez, vous ne voulez,
Nous ne voulons, nous ne pouvons
Et pourtant nous devrions.
S'ouvrir au monde est un effort joyeux
Dont la recompense et l'enjeu
Sont la paix, l'amour et l'amitié
Poue reconcilier le monde tout entier.
Mais aucune mort n'efface les torts
Accumulés durant une vie entière,
Une vie dont on ne peut être fier.
Lorsque vient la conscience
Et que nous aident les sciences
Pour comprendre et aimer le monde
Notre esprit s'apaise, la lumière innonde.
Comprendre, aimer, tolérer,
Vous ne pouvez, vous ne voulez,
Nous ne voulons, nous ne pouvons
Et pourtant nous devrions.
S'ouvrir au monde est un effort joyeux
Dont la recompense et l'enjeu
Sont la paix, l'amour et l'amitié
Poue reconcilier le monde tout entier.