à Pascal
"Le silence éternel de ces espaces infinis m'effraye."
Rivage du soir,
Plongeons dans le noir,
Du profond miroir.
Voguons ou nageons !
La locomotion
Est divagation !
Mais…
Tristesse de l'homme,
Timide bonhomme !
Désespoir en somme.
Inventeur d'excuses !
Toujours en abuse,
Même auprès des Muses,
Puis…
Tu tentas une fois,
Tu as trempé ton doigt,
Dans le monde froid
Avant de rentrer ;
Afin de méditer,
Sur l'acte passé
Et…
Tu as concocté,
Franche vérité,
Aux sonorités
Sensibles et vraies :
Quand le noir se tait,
L'infini m'effraye.
sacha_lisbon
Inscrit(e) : 26 mai 2007Hors-ligne Dernière activité : déc. 09 2007 10:44