L’hiver était bien nu entre les vents salvateurs
Qui ne laissaient ni chute mouillante ni nuages
Autour du soleil redorant l’attirance des fleurs
Que l’heur matinal gardait pleine sur les rivages…
L'euphonie des berceuses, restait si doucereuse
Entre les brises qui chatouillaient les fleurettes
A peine décloses, derrière les épines haineuses ;
Et la couleur peignant les têtes, devenait noisette.
Je secouais souvent mon sommeil tel un soldat
D’un éveil agile pour recouvrir un autre entre
Les fleurs humides qui ronflaient sous les éclats
Timides des rais que l’aube aimait au ciel, pendre.
Je parcourais le chemin des translations pensif
Jusqu’au sommet qui laissait le soleil apparaître...
Et dessous ses brûlures, mes vrais désirs émotifs
Roupillaient profondément comme des spectres.
zapiski.
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Publications sur Toute La Poésie
Moi, Baptiste, Je Ranime Le Soleil.
19 août 2007 - 02:41
Scrogneuneu Ou La Prise De La Bastille.
18 août 2007 - 03:16
Sur mon beau cheval,
Au profil grec,
J'ai parcouru maints délires,
Convaincu d'aucuns.
Aux couleurs je tourne la tête,
Et je regarde mes pas passés avec consternation;
Souvent parmi les imbéciles,
Je m'étonnais d'en être un.
Que quelqu'un, me délivre de mon tourment!
Je m'aperçois que je ne peux descendre de selle, même pour délier mes tripes;
Qu'on me tire dessus! Mon cheval est au galop!
Quand va donc cesser cette misère!
Il faut éteindre l'ordinateur. Et après:
Yavaitil une vie,
Après le forum de poésie?
Au profil grec,
J'ai parcouru maints délires,
Convaincu d'aucuns.
Aux couleurs je tourne la tête,
Et je regarde mes pas passés avec consternation;
Souvent parmi les imbéciles,
Je m'étonnais d'en être un.
Que quelqu'un, me délivre de mon tourment!
Je m'aperçois que je ne peux descendre de selle, même pour délier mes tripes;
Qu'on me tire dessus! Mon cheval est au galop!
Quand va donc cesser cette misère!
Il faut éteindre l'ordinateur. Et après:
Yavaitil une vie,
Après le forum de poésie?
Tendresse De Vent
18 août 2007 - 01:58
Ma prose à sourire se lève,
Ma main se tend comme un soleil qui brille
Illuminant un regard qui pour ne plus se tarir
Plume un lit de roses au creux de la nuit
Quand les autres doux toujours qui taisent
Des ruisseaux de promesses,
Et des marées de corps
Et encore, une vie à qui un doux jamais, une sur un ton dans lequel s'étendre...
Je t'aime des poèmes à pleurer, comme des mots de ma promesse chérie
Ma main se tend comme un soleil qui brille
Illuminant un regard qui pour ne plus se tarir
Plume un lit de roses au creux de la nuit
Quand les autres doux toujours qui taisent
Des ruisseaux de promesses,
Et des marées de corps
Et encore, une vie à qui un doux jamais, une sur un ton dans lequel s'étendre...
Je t'aime des poèmes à pleurer, comme des mots de ma promesse chérie
Sa Prison
18 août 2007 - 01:32
Sa prison: poème.
(lheroine du poeme sappele tigra)
Sa prison a de gros barreaux aux fenetres,
Elle en tiens un dans sa main,
Un gros barreau noir et lisse.
De souffrance et de peine,
Ses cheveux tombent sur les barreaux,
Ils deviennent encore plus épais,
Elle leche le barreau sur lequel il y a un peu d'eau,
Elle a soif,
Elle est nue.
Je suis le directeur de la prison. J'ai installer des caméras dans toutes les cellules pour voir mes petites pensionnaires. J'en ai de toutes les âges.
Je les ai toutes kidnappés. Ce sont toutes des bonnasses. Mais de toutes ces supers bonnasses, Tigra est ma préférée; une chevelure de feu et une poitrine abondante. On peut dire qu'elle me fout un méga barreau Tigra.
Mais je n'aime pas toucher mes bonnasses, non. J'aime surtout les regarder sur mon écran et puis écrire des poèmes...
(Fin de l'épisode premier)
(lheroine du poeme sappele tigra)
Sa prison a de gros barreaux aux fenetres,
Elle en tiens un dans sa main,
Un gros barreau noir et lisse.
De souffrance et de peine,
Ses cheveux tombent sur les barreaux,
Ils deviennent encore plus épais,
Elle leche le barreau sur lequel il y a un peu d'eau,
Elle a soif,
Elle est nue.
Je suis le directeur de la prison. J'ai installer des caméras dans toutes les cellules pour voir mes petites pensionnaires. J'en ai de toutes les âges.
Je les ai toutes kidnappés. Ce sont toutes des bonnasses. Mais de toutes ces supers bonnasses, Tigra est ma préférée; une chevelure de feu et une poitrine abondante. On peut dire qu'elle me fout un méga barreau Tigra.
Mais je n'aime pas toucher mes bonnasses, non. J'aime surtout les regarder sur mon écran et puis écrire des poèmes...
(Fin de l'épisode premier)