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La Mort
Dans la nuit sans lune
Son allure assassine
Prévient sa proie
D'un sanglant festin.
Au raz de la rue
Tu rampes et rumines
Beau rat de la rue
La mort se dessine.
Sous cette suie tes yeux noirs
Ivres de mauvais vin
Racontent ton histoire
Veines ouvertes...Amours vains.
Dans la nuit sans lune
Bel ami tu t'éteins
Dans la nuit sans lune
Et sans lendemain...
La mort à tes pieds
Ta vie est en vain
Cet assassin jamais
N'a de sang sur les mains...
Paprika
Inscrit(e) : 25 juin 2007Hors-ligne Dernière activité : nov. 28 2009 08:54
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Publications sur Toute La Poésie
La Mort
05 juin 2009 - 08:17
Déclaration d'amour sur la voie publique
15 septembre 2008 - 12:56
Déclaration d'amour sur la voie publique
Aujourd'hui est le jour
Du rallye de Moncoeur
A destination de Monamour
Qui me dit son "âme soeur".
On discerne le zèle
Sur la ligne de départ
Des coureuses professionnelles
Gentes alliage et plein fards
Sans âme sous la carrosserie
Et elles s'y crèveront les pneus
Un modèle tiré en série
Ne rend pas un homme heureux!
Enfin il me voit!
Mon engin prend l'eau
Et mon moteur se noit
Dès qu'il frolle ma peau.
On va pas y passer la nuit
J'taime aussi ! et entre nous,
Eteint-moi je t'en pris
J'ai le feu rouge aux joues.
Qu'importe le trafic
Les voies autour de toi
Pas de contrôle technique
Emmène-moi!
Paprika
Aujourd'hui est le jour
Du rallye de Moncoeur
A destination de Monamour
Qui me dit son "âme soeur".
On discerne le zèle
Sur la ligne de départ
Des coureuses professionnelles
Gentes alliage et plein fards
Sans âme sous la carrosserie
Et elles s'y crèveront les pneus
Un modèle tiré en série
Ne rend pas un homme heureux!
Enfin il me voit!
Mon engin prend l'eau
Et mon moteur se noit
Dès qu'il frolle ma peau.
On va pas y passer la nuit
J'taime aussi ! et entre nous,
Eteint-moi je t'en pris
J'ai le feu rouge aux joues.
Qu'importe le trafic
Les voies autour de toi
Pas de contrôle technique
Emmène-moi!
Paprika
Adieux
05 août 2008 - 07:31
Prends-moi par la taille
Emmène-moi
Où que l'on aille
Allonge-moi.
Tout doucement
Déshabille-moi
Sur mon coeur tremblant
Balance-toi.
Ne bascules pas
Si je t'embrasse
Si je t'enlace,
Ne t'effraies pas
Si je frémis
Si je rougis
Et si je cris.
Dissipes-moi
Toutes ces angoisses
Au fond de toi
Qui te tracassent.
Et souris-moi
on se verra
là -bas, là bas
Où vit la foi.
Tu n'as plus d'âge
Dans mes yeux
Nos vies en cage
Te dire Adieux.
Emmène-moi
Où que l'on aille
Allonge-moi.
Tout doucement
Déshabille-moi
Sur mon coeur tremblant
Balance-toi.
Ne bascules pas
Si je t'embrasse
Si je t'enlace,
Ne t'effraies pas
Si je frémis
Si je rougis
Et si je cris.
Dissipes-moi
Toutes ces angoisses
Au fond de toi
Qui te tracassent.
Et souris-moi
on se verra
là -bas, là bas
Où vit la foi.
Tu n'as plus d'âge
Dans mes yeux
Nos vies en cage
Te dire Adieux.
Jalousie
16 novembre 2007 - 10:23
Jalousie
Ma vie loin de ses yeux,
Des lumières l'animent.
Ma lumière près de ses mots,
Mes yeux l'animent-ils?
Ses yeux sur une belle,
Mon âme de larmes pluie.
Sa voix sur mon coeur,
Je n'ai plus d'yeux que pour lui...
Papillon naïf
Ne vole pas ainsi!
Ton regard sur ces fleurs,
J'en suis folle de jalousie!
Toujours il m'effleure,
De ce champs fais-je partie?
Je t'offre mes larmes,
Je voulais t'offrir ma vie...
Paprika.
Ma vie loin de ses yeux,
Des lumières l'animent.
Ma lumière près de ses mots,
Mes yeux l'animent-ils?
Ses yeux sur une belle,
Mon âme de larmes pluie.
Sa voix sur mon coeur,
Je n'ai plus d'yeux que pour lui...
Papillon naïf
Ne vole pas ainsi!
Ton regard sur ces fleurs,
J'en suis folle de jalousie!
Toujours il m'effleure,
De ce champs fais-je partie?
Je t'offre mes larmes,
Je voulais t'offrir ma vie...
Paprika.
Quel âge avons-nous?
26 juin 2007 - 09:55
Un grain de sable n'a pas d'âge,
Et dans l'Univers est de passage.
Dans mille ans, d'une autre apparence
J'aurai seize ans, âge de l'enfance
Et d'un tendre regard, mon joli sort
Inlassablement je t'aimerai encore.
Ainsi est fait le cycle de nos vies
Un jour sans fin quand tu me souris
Douceur malicieuse sur tes lèvres nues
Et si demain nous ne nous quittions plus...
Paprika
Et dans l'Univers est de passage.
Dans mille ans, d'une autre apparence
J'aurai seize ans, âge de l'enfance
Et d'un tendre regard, mon joli sort
Inlassablement je t'aimerai encore.
Ainsi est fait le cycle de nos vies
Un jour sans fin quand tu me souris
Douceur malicieuse sur tes lèvres nues
Et si demain nous ne nous quittions plus...
Paprika
