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Tannit

Inscrit(e) : 09 juil. 2007
Hors-ligne Dernière activité : oct. 22 2008 11:17

Publications sur Toute La Poésie

à L'ombre Des Fourneaux.

27 juillet 2007 - 06:38

Tu n'auras pas l'Alsace et la Lorraine,
nous baignerons dans un lit de lait
aux fourneaux enchantés d'un matin
de Printemps, et comme pour,
chaque année qui passe, nous
saluerons l'hirondelle mon frère.

Un vieux soldat n'est jamais revenu
finir son oeuvre, les murs ne sont
jamais restés muets ; ils ont les larmes
d'Armandine Dicker, grand-mère
décédée un soir de croissant.

Elle avait de belles larmes Armandine
dans son fauteuil couleur amour.
Elle regardait les murs ; ils n'étaient
jamais sombres, tout simplement colorés
de l'ombre de Papi Kormendy.

Le Dernier.

25 juillet 2007 - 06:28

Le dernier est aujourd'hui
comme je vais l'aimer l'emporter
je vais faire de lui ma mort
d'aujourd'hui pour hier
elle sera belle très belle
mon dernier jour sera demain

Je serais heureuse tout plein
j'aurais volé tel un faucon fier
traversé nos merveilleux rêves
enfin je pourrais aller à l'au-delà
sans crainte aucune de ce jour
le dernier où je l'aurais aimé

Lounge, et la folie d'une chienne errante.

20 juillet 2007 - 11:38

Les murs étaient ceux du crépuscule lorsque le couvert des barreaux étaient ceux d'un numéro. Dans l'ombre.

Guimauve pour chat sur glace à la pistache. Temps mort.

Nulle oraison Ô mer, maman enferme son chien sur les draps de sa mémoire.

(Bon j'ai fait un copier/collé mais le soulignement ne veut pas parti : oui, je donne lire, t'es chiant ZQFD)

Viol

20 juillet 2007 - 11:24

La bienséance une flûte plutôt vicieuse qui viendrait rappeler l'orgueil.
Moi

Les ponts.

20 juillet 2007 - 09:45

"Les hommes sont si nécessairement fous que ce serait être fou par un autre tour de folie de n'être pas fou."

Pascal.