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Que de petits en si grands içi bas
Où fumées ardentes si vivent, si voient
En un morne éclat frottant pieds à pas
Ce vil dogme dans cet avant trépas
Martelement pesant clou la Croix
Sur un siège liège s'assit la folie
De l'utopique oracle du "soi"
Où il n'est plus que cendres du vis
Moralité d'une morale:
Tout se perd, un rien se crée, je me transforme . . .
Pierrot66
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10 janvier 2009 - 10:13
Pot pourri
09 janvier 2009 - 08:46
Je vous souhaite à tous une joyeuse année 2009 !
En attendant de publier mes nouveaux poèmes ( prochainement ), je propose à ceux qui ne me connaissent de découvrir mes anciens écrits par ce lien : http://guizmopunk66.skyrock.com/ =)
En attente de vos réactions sur ces derniers =)
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Le Marin
20 septembre 2008 - 06:29
Le marin s'en est allé
Le coeur ancré au rivage
L'âm encrée de nuées
Anticipées du naissant mirage
Oraclé de son aimée
Qu'aura sur lui le passage
Du crépuscule trépassé.
Le marin s'en est allé
Au rythme des flots
En l'horizon effacé
Sur le néant des eaux
Aspirants voracement péchés
Trop lourds fardeaux
Du marin à la vie arrachée.
Le coeur ancré au rivage
L'âm encrée de nuées
Anticipées du naissant mirage
Oraclé de son aimée
Qu'aura sur lui le passage
Du crépuscule trépassé.
Le marin s'en est allé
Au rythme des flots
En l'horizon effacé
Sur le néant des eaux
Aspirants voracement péchés
Trop lourds fardeaux
Du marin à la vie arrachée.
La survie nuie à la vie, serait-ce la vil nuit du survenir?
20 septembre 2008 - 06:28
Que de petits en si grands içi bas
Où fumées ardentes si vivent, si voient
En un morne éclat frottant pieds à pas
Ce vil dogme dans cet avant trépas
Martelement pesant clou la Croix
Sur un siège liège s'assit la folie
De l'utopique oracle du "soi"
Où il n'est plus que cendres du vis
Moralité d'une morale:
Tout se perd, un rien se crée, je me transforme . . .
Où fumées ardentes si vivent, si voient
En un morne éclat frottant pieds à pas
Ce vil dogme dans cet avant trépas
Martelement pesant clou la Croix
Sur un siège liège s'assit la folie
De l'utopique oracle du "soi"
Où il n'est plus que cendres du vis
Moralité d'une morale:
Tout se perd, un rien se crée, je me transforme . . .
Impudique
23 juillet 2008 - 11:30
Les bruits de nos corps endormis
Se mélangent
A l'interdit
Que nos désires murmurent
Sur nous
Les cadavres des bouteilles nous dérangent
Plus tard
Nos corps se font plus durs
Nous ne ferons plus l'amour
Pour qu'une robe d'essence
Habille nos désire brulants
De cris retenus si troublants
Nous ne ferons plus l'amour
C'est plus fort que ça nous deux ;
Sentir juste un drap trop court
Unir nos deux corps amoureux
L'ivresse nous à donné
La clé de tout nos excès
La porte claque au petit jour
Nous ne ferons plus l'amour...
Se mélangent
A l'interdit
Que nos désires murmurent
Sur nous
Les cadavres des bouteilles nous dérangent
Plus tard
Nos corps se font plus durs
Nous ne ferons plus l'amour
Pour qu'une robe d'essence
Habille nos désire brulants
De cris retenus si troublants
Nous ne ferons plus l'amour
C'est plus fort que ça nous deux ;
Sentir juste un drap trop court
Unir nos deux corps amoureux
L'ivresse nous à donné
La clé de tout nos excès
La porte claque au petit jour
Nous ne ferons plus l'amour...
