badia
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Les bribes d’un souffle passionné
03 janvier 2008 - 04:00
Elle- la très jeune donzelle aux yeux bleutés- c’est mademoiselle Nathalie…
Elle, c’est tout simplement elle, l’heureuse fée et joyeuse couleur de mes perspectives spirituelles, longtemps parfumées d’ombres et de transcendances hautaines.
Elle, c’est aussi mes paysages, mes peintures, mes pochades… vastes reliefs azuréens transportant joliment mes émois nizerés, ainsi que d’ailleurs mes plaisirs d’autrefois.
Elle, si femme et si belle à la fois, c’est encore mes sourires et tous mes autres inspirations de foi, brodés - dorés déjà - sous une allure romanesque et juste à la fois.
Sa beauté- bien qu’elle soit mystérieuse- est à vrai dire identique à celle du printemps, et c’est plus précisément un univers d’étincelles et de fées, univers unique en soi que je me force ici à tisser au tréfonds des éternités, à peindre aussi de mélodies rares et exceptionnelles, tantôt effleurées de lumières et d’ombres, tantôt jonchées de toute part, puis éparpillées sur les tiges des joncs muettes.
Nathalie, toi qui est présentement tout pour moi ! Toi, la si parfaite à me plaire à l’infini… saches donc, que tu es la fille aux yeux bleus, l’opium prohibé, la libation étincelante de ma générosité bénite, l’illicite ivresse de ce bas monde, enfin, celle même dont je ne peux plus me passer, or je ne pourrais absolument pas t’abandonner et loin de moi d’y penser un instant, même au prix d’être reconnu comme une poésie universellement aimée, et éternellement nécessaire à toute la postérité.
Bel enfant, je voudrais que tu puisses comprendre qu’il y a en toi l’essence magique d’une beauté céleste, rare et opulente d’essence, une sorte d'envie mystique assez vitale à ma surélévation céleste … une aisance agréable, et plus qu’omnipotente, si je puisse dire…. enfin, c’est une chose pour laquelle je suis près à tout, y compris de voler comme le beau papillon des îles dorées.
Vraiment ! Tu es l’unique fascination qui m’émerveille, la seule à être aussi capable à embaumer mon jardin d’amour… jardin de prouesses et de nuées secrètes où les petites fleurettes tapissent aisément le sol et le jonchent d’une affection probable.
Oh, si tu savais combien je voudrais que tu sois la seule et unique raison pouvant m’envahir ou m’inonder de cette paix absente ici bas….unique, oui, pour être ensuite la première et la dernière qui peut sainement m’offrir ses mille baisers, suivis de mille et une nuit, puis d’une longue compagnie rustique, un peu plus qu’ordinaire.
Petite princesse, c’est seulement de toi que j’accepterais ce présent enjolivé….ce beau regard d'estime qui suffira à m'émouvoir pour l’éternité, et qu’il soit cependant pour moi le présent de tous les jours, de tous les instant de la vie.
Un premier regard d’initiation suffira pour la matinée de nos amours, puis un autre au milieu de journée sera le bienvenu aussi, et enfin un dernier au soir, pour mieux contempler l’étang d’étoiles qui jaillira religieusement au dessus de nous, le soir d’un été bleu.
Je le veux ce regard doucereux de musette, ainsi que tes caresses de petite forcenée, sans oublier tes étreintes brûlantes et mêmes folles parfois, des chuchotements interminables aussi de ta part, sans oublier une intention particulièrement sincère pour la valse mythique que j’accomplirai pour toi, avant l’exécution d’une dernière danse, qui serait somptueusement semblable aux pavanes des gens heureux.
Aujourd’hui, plus que jamais, tu es pureté… un beau et joyeux rayon d’affection qui m’illumina voilà bien longtemps déjà , d’une joie indicible et presque impossible à décrire.
Jolie princesse aux mille sourires ! épouse moi pour l’amour du ciel… ne vois -tu pas que je pourrais être inondé de ton regard azuréen, aussi longtemps que le sang abreuve mes veines, et aussi longtemps que le souffle de la vie noue mes entrailles…m’entends-tu donc !! Longtemps, dis-je ! Oui ! Aussi longtemps que le jour et la nuit existent, alors vas-tu enfin être ma clarté transparente, lueur véloce et princière n’ayant de droit autre que celui de m'aveugler d’étoiles et d’étincelles, éternelles et jamais éphémères.
Je me force parfois de t’empêcher d’être tout pour moi, de t’oublier ainsi que nos jeux d’enfants incontrôlables et souvent passifs, mais je ne le peux guère mon amour, cela dit, me voici désormais par bonheur loin de cette probabilité affreuse et agonisante, pour un être aussi délicieux et aussi pondéré de raison que moi.
Mon amour, parce que j’ai oublié d’oublier ton affection, ta tendresse mélodieuse et tes sentiments galvanisés par tant de promesses, par tant de danses et de pavanes, pour cette unique raison, je ne pourrais ignorer ou oublier mon autre partie !! Cette peine anodine et presque insipide que tu es !! Cette donzelle que tu es !! Excitation que j’affectionnerais tous les jours comme un fantassin, qui veut aimer et fuir la guerre.
Aussi - belle Nathalie- tu es aussi belle que les fleurs de mon royaume, oui et je ne peux qu’en être fastueux.
Belle -sans aucune contestation….belle pareillement à une muse assise sur son trône d’or, duquel volent les étincelles et les oiseaux de la paix ! Pour moi, tu es bien plus belle que les lilas et les orchidées, aussi belle même encore que les silhouettes des ombres isolées, agrippant les marguerites de l’innocence, qui fleurissent timidement sur chaque parcelle de mon être et dans le moindre coin et recoin de mon âme.
Pour moi petite princesse, c’est toute une myriade de sentiments, que je porte fièrement en chacun de mes sens, et tel l’enfant doué porté constamment par sa mère, j’ai de même sans cesse besoin de me sustenter de ta beauté angélique. Humecter le brouillard de ton souffle.
Nathalie, tu es ce vent fredonnant, parfois menaçant certes et mugissant mais si douillet à la fois, ma volupté et mon unique pensée tu- es, le reflet de quelques statues hissées par les ailes de nos espérances, qui quant à elles sont parées de tant d’images, aussi belles les unes que les autres dans notre jardin d’éden.
Un jour tu m’entendras te confesser quelques fragments d’amour, semblable et pareillement à cet indispensable fragment.
« Délicate que tu es, tu es l’utile brillance de mes yeux, ces mirettes amplement aussi purs que des jacinthes correctement lunées pour l’étreinte de deux regards, enivrées comme deux armoises en délire »
Jamais Nathalie tu ne connaîtras de pleurs auprès de moi, alors !laisse donc ton petit cœur s’abreuver des sentiments qui jaillissent en mon être, loin des chagrins d’autrefois, loin du passé.
Délicats, tes yeux bleus ne verseront plus guère de larmes, alors oublie les ces chagrins lugubres et laisse mon âme t’emporter loin des mélancolies monotones, loin, là bas, bien loin mon amour de nos déchirements émotionnels.
Ô ! Toi que j’aime et estime à la folie, je ne peux plus appartenir à ton passé…comment lui appartenir et ai-je le choix que de le fuir, quand même, je peux être ton vœu. Le plus cher.
Laisse donc moi devenir ton seul sourire, être ton unique soupir, ton seul désir, ton unique vassal et fidèle compère du voyage intime, qui nous atèle l’un à l’autre.
Je veux te voir devenir ma perle blanche ! La nivale et si rare…. l’allumette suspendue aux rameaux de mes souhaits les plus chers.
Je veux que tu sois aussi belle que la brise caressant ma peau lisse. Ébène des tigelles au royaume des reines ! Je te conjure d’être ainsi pour ainsi déterrer les plus beaux sentiments que tu renfermes en toi, depuis déjà l’éternité.
Sois pour moi comme je le désir, sois ma palme d’or qu’une multitude de petits cœurs jaspent, ma plume d’écrivain traçant ! Esquissant ! Écrivant !décrivant l’horizon lointain, ma flûte aussi ! Fredonnant… poétisant la vie des verves en d’éloquentes espérances, indéfiniment indicibles.
Alors ! sois tout, sois le jour et la nuit, l’obscurité et la lumière aussi.
Oui ! Voilà là ton seul devoir, sois tout parce qu’il faut être tout pour celui que l’on aime et apprécie.
Sur le fil des verves dorées de mon l'âme
04 décembre 2007 - 04:00
Non, cela ne me rassure point
Le vol des vagues photoniques
N'est pas prévu ce soir.
L'âme de ces atomes est stérile
L'âme de votre âme est infertile
Mais, ce n'est pas tout
Puisque l'envie d'avoir envie me manque.
Oui, tous cela ne me semble pas incertain
Comme nos substitutions astrales !
Moi, je veux juste mon intuition affective
Et à moi seul ces vapeurs satinées.
Sur l'île matricielle dorée !
Même irréel,
Ce vol de poussière est angélique
Oui! Je vous l'assure!
Son évolution magnétique n'est pas visible
C'est l'effet négatif
De mon Amnésie transcendantale !
La transe pudique
L'énergie lyrique
Du sentimentalement corollaire.
La mémoire didactique,
L'Immersion axiomatique,
D'une longue obsession circonspecte !
Je suis trop inquiet, je vous dis !
Mes sensations électriques sont superficielles
Je m'égare seul,
Sur l'éther des vibrations cosmiques !
Mon intelligence excentrique est chétive !
Je veux le mana de cette dague atomique
J'en ai besoin ! Aujourd'hui, demain !vite
Les stigmates de mon subconscient subdivisé,
Apparaissent de nouveau !
Vite ! Vite ! Donnez moi la bénédicité,
De mille chimères atmosphériques !
Mon émulsion atavique est isomorphe
L'Idiome de mes sens est paralysé !
Je dois survivre sur cette nébuleuse,
Pour feindre l'illumination équivoque.
Je dois survivre sur cette nébuleuse,
Et atteindre l'orgasme magnétique.
Reflet
01 décembre 2007 - 07:09
Bien que cela n'explique pas assez l'histoire
De cet animal qui a longtemps produit des paresseux
Puisque dépourvu de culture et d'histoire.
Civilisé, ai –je dis ! Ah ça non, non jamais
Puisque de tous les aboiements, seul l'espoir
Ne change pas ! Anglais soit-il ou congolais
L'un ou l'autre mérite bien l'abattoir.
Alors, Ã vous, je vous le dis en silence
Comme un cris ! Écoutez ce silence que l'on entend
Avant de fuir, un peu comme pour fuir la démence
D'un être qui a toujours été de vous différent.
les chiens
26 novembre 2007 - 06:08
Fuiez -donc la niaiserie de ces orientalistes
Qui ne cessent de blâmer peuples et sociétés.
Parcourant le monde, comme des journalistes
Et prônant pour vérité le droit de tuer nos libertés.
Ces chiens osent parler de culture et d’humanité
De la paix ou du progrès et bien sûr de la démocratie
Alors que nous…nous on voit bien les effet de leur modernité
Qui pullule avec la misère d’autrui, au nom de la diplomatie
Observez leur aboiement et vous verrez qu’ils sont borgnes
Et pour preuve, ils engraissent leurs chats et toutous
Avec telle ou telle variété de viandes, alors que l’indigne
Africain meurt tristement de faim comme un pauvre matou.
Regardez - donc l’hypocrisie de ces singes évolués
Qui se sont noués d’amitiés pour le malheur des autres
Et pour preuve, pour servir l’humanité, ces dévoués
Arment le monde de conflits et arbitrent.
Face à ton regard pillé
22 novembre 2007 - 06:53
Le cosmos est indéniablement étroit !
Mais quand tu me tiens enchaîné à ton ombre!
Quand tu me touches,
Et quand tu me parles
Je deviens dévoué!
Destiné à ton image
Je deviens alors sage.
Au sanctuaire de ton âme pillée,
Ton ivre haleine s’étale!
Me poétise à jamais,
Tel le miel sucré de ma province!
Ce matin mon amour !!
Volent déjà et planent librement
Autant de fois que la reine soleil,
Tes mains d’abeille!
Face à ton regard pillé,
Le cosmos est indéniablement étroit !
Mais quand tu me tiens enchaîné à ton corps!
Quand tu me touches,
Et quand tu me parles
Je deviens dévoué!
Destiné à ton image
Je deviens alors sage.
Lorsque tu avances vers moi,
Tes douillettes caresses m’inondent de plaisir.
S'éparpillent face à mon corps d'eau,
Tes frôlements exotiques.
Ensuite me remplissait d’aisance et d’invincibles liens,
L’instant de l’évidente affection !
Mais, depuis quelques absences, déjà ,
Le futur immobile se retrouve en arrière,
Comme si l’ombre d’aujourd’hui
Ne fut guère confiée au passé !
Et le cosmos endormi,
Mon amour,
À présent néant
Fut songe dans tes pompières de fleur!
Aujourd’hui,
La clémence n’est autre que l'orgueil,
l’orgueil abandonné dans un étang
Une mémoire fermée à clé![size=3]