loumak

Ton corps et ton coeur sont partis voir ailleurs
Mon coeur a repris mais mon corps te réclame
Pathétique espoir et perpétuelle tourment
Pourquoi t'ai je donc dis que nous restions ami.
A force de trop donner on espère recevoir.
Si tes courbes alléchantes pourraient mettre accessibles
Ton amour demeure lui un graal inaccessible
À ton dessert aride mes jardins luxuriant

Ton absence n’est en fait que simple rémanence
Que mon esprit se vide et remplace ta présence
Tout ça n’est que chimie, pure biologie
Le désir et l’envie finement régulés
Peptides et endorphine,
Neurones et secrétions,
Triste réalité ou prodigieux espoir
Rationnelle équation aux variables connues
Je trépigne de trouver ma nouvelle inconnue