La tete sous l’eau
Hurler un bon coup !
Arréter de respirer
Et soudain se sentir exister
maelle
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Publications sur Toute La Poésie
Bulles
27 août 2007 - 01:24
Persistance
26 août 2007 - 10:37
Je ne sais plus comment t’appeler
Je ne sais plus comment te parler
Dans ce futur que je vis au présent
Dans ma vie dont tu es absent
Je ne sais plus si je dois encore t’aimer
Je sais que je ne dois plus t’espérer
Au plus profond de mon cœur
Au plus profond de ma douleur
Je sais que je dois nous dépasser
Je sais que je ne dois plus persister
Pour arriver a pouvoir enfin me libérer
Pour arriver à savoir de nouveau aimer
Je ne sais plus le vert de tes yeux
Je ne sais plus l’or de tes cheveux
Quand je ferme les yeux ta voix n’est plus lÃ
Quand je ferme les yeux ce que je vois n’est pas toi
Je ne sais pas encore te laisser partir
Je ne sais pas encore comment finir
A parler de toi encore au présent
A oublier ce si fatal sentiment
Je ne sais pas comment je dois te survivre
Je ne sais pas encore comment revivre
Quand pendant la nuit je crie ton nom
Quand jamais tu ne me réponds
Je sais encore au fond de moi ton sourire
Je sais toujours le souffle de tes soupirs
Quand mon amour s’embrase pour toi
Quand mon amour brûle encore en moi
Je ne sais plus comment t’aimer
Je ne sais plus comment t’espérer
Alors qu’à jamais tu seras absent
Malgré mon amour encore brûlant
Je ne sais plus comment te parler
Je ne sais plus comment te laisser
Alors que le poids de ton absence
Me réduit encore trop au silence
Je ne sais plus comment te parler
Dans ce futur que je vis au présent
Dans ma vie dont tu es absent
Je ne sais plus si je dois encore t’aimer
Je sais que je ne dois plus t’espérer
Au plus profond de mon cœur
Au plus profond de ma douleur
Je sais que je dois nous dépasser
Je sais que je ne dois plus persister
Pour arriver a pouvoir enfin me libérer
Pour arriver à savoir de nouveau aimer
Je ne sais plus le vert de tes yeux
Je ne sais plus l’or de tes cheveux
Quand je ferme les yeux ta voix n’est plus lÃ
Quand je ferme les yeux ce que je vois n’est pas toi
Je ne sais pas encore te laisser partir
Je ne sais pas encore comment finir
A parler de toi encore au présent
A oublier ce si fatal sentiment
Je ne sais pas comment je dois te survivre
Je ne sais pas encore comment revivre
Quand pendant la nuit je crie ton nom
Quand jamais tu ne me réponds
Je sais encore au fond de moi ton sourire
Je sais toujours le souffle de tes soupirs
Quand mon amour s’embrase pour toi
Quand mon amour brûle encore en moi
Je ne sais plus comment t’aimer
Je ne sais plus comment t’espérer
Alors qu’à jamais tu seras absent
Malgré mon amour encore brûlant
Je ne sais plus comment te parler
Je ne sais plus comment te laisser
Alors que le poids de ton absence
Me réduit encore trop au silence
Echec & Mat
26 août 2007 - 10:34
Echec et mat
Tout éclate
Tout se délite
Tout s’émiette
En perles glacées
Echec et mat
Tout se frelate
Et tout s’effrite
Dans ma tête
Ou pèse le passé
Echec et mat
J’abandonne sans hâte
Mes frusques et mes fripes
En misérables bandelettes
Et met au jour mon corps blessé
Echec et mat
Tout éclate
Tout se délite
Tout s’émiette
En perles glacées
Echec et mat
Tout éclate
Tout s’effrite
Dans ma tête
En larmes versées
Tout éclate
Tout se délite
Tout s’émiette
En perles glacées
Echec et mat
Tout se frelate
Et tout s’effrite
Dans ma tête
Ou pèse le passé
Echec et mat
J’abandonne sans hâte
Mes frusques et mes fripes
En misérables bandelettes
Et met au jour mon corps blessé
Echec et mat
Tout éclate
Tout se délite
Tout s’émiette
En perles glacées
Echec et mat
Tout éclate
Tout s’effrite
Dans ma tête
En larmes versées
Pluie
26 août 2007 - 10:31
Petites perles de pluie
Aux coins de mes yeux trop gris
S'écoulent sans bruit
Se meurent à la commissure
De mes lèvres sillonnées de gerçures
De mon cœur ivre de blessures
Petites larmes de crocodiles
Quand la vie se sent futile
Quand tout se fait inutile
Roulent sur mes joues
Et s'insinuent dans mon cou
Petites gouttes amères
Qui s'incrustent dans ma chair
Et me rende peu a peu trop saoule
De ce chagrin qui s'écoule
Et qui noie dans l'oublie
Cet amour qui s'enfuit
Aux coins de mes yeux trop gris
S'écoulent sans bruit
Se meurent à la commissure
De mes lèvres sillonnées de gerçures
De mon cœur ivre de blessures
Petites larmes de crocodiles
Quand la vie se sent futile
Quand tout se fait inutile
Roulent sur mes joues
Et s'insinuent dans mon cou
Petites gouttes amères
Qui s'incrustent dans ma chair
Et me rende peu a peu trop saoule
De ce chagrin qui s'écoule
Et qui noie dans l'oublie
Cet amour qui s'enfuit
Nuit
22 août 2007 - 04:21
Nuit sans bruit et sans lueur
Où tout s'enroule et se meurt
Nuit sans toi et sans bruit
Où tout se fait silence
Où tout s'éparpille
Dans le trou noir de l'absence
Nuit sans heurt et sans pleurs
Où plus rien ne vient troubler
Le silence pur et glacé
D'un hiver sans soleil
D'un hiver sans sommeil
Dans les méandres de la solitude
Nuit sans souffle et sans vie
Où tout se tait tout s'enfuit
Où rien ne veux se souvenir
De l'espoir de l'avenir
Où rien ne veux parler
De mon cœur brisé
Nuit sans étoiles et sans toi
Nuit ou tout en moi se débat
Pour fuir ma folie
Pour fuir mon désarroi
Dans le silence et le froid
Nuits sans rêves sans espoirs
Où tout se fond dans le noir
D'une solitude pale et glacée
D'un quotidien aseptisé
Où tout se fait silence
Où tout hurle ton absence
Nuits d'hiver Nuits d'effroi
Où tout s'atomise en moi
Où mon désir de toi
S'éparpille au vent
Et hurle la mort des amants
Où tout s'enroule et se meurt
Nuit sans toi et sans bruit
Où tout se fait silence
Où tout s'éparpille
Dans le trou noir de l'absence
Nuit sans heurt et sans pleurs
Où plus rien ne vient troubler
Le silence pur et glacé
D'un hiver sans soleil
D'un hiver sans sommeil
Dans les méandres de la solitude
Nuit sans souffle et sans vie
Où tout se tait tout s'enfuit
Où rien ne veux se souvenir
De l'espoir de l'avenir
Où rien ne veux parler
De mon cœur brisé
Nuit sans étoiles et sans toi
Nuit ou tout en moi se débat
Pour fuir ma folie
Pour fuir mon désarroi
Dans le silence et le froid
Nuits sans rêves sans espoirs
Où tout se fond dans le noir
D'une solitude pale et glacée
D'un quotidien aseptisé
Où tout se fait silence
Où tout hurle ton absence
Nuits d'hiver Nuits d'effroi
Où tout s'atomise en moi
Où mon désir de toi
S'éparpille au vent
Et hurle la mort des amants