Il était une fois,
Je crois que c'est comme ça
Il était une fois,
Les contes commencent comme ça
Je ne sais plus où est le début
Mais la fin je la sens
Tout près de moi je l'ai sentit venir
Mais elle est partit sans bruit
Il était une fois,
Impénétrable destinée
Il était une fois,
Le début d'une fin
Chaque fois c'est la même chose
Le début, la fin,
Venir, partir, c'est pareil
Au revoir et adieu
Miette
Inscrit(e) : 01 sept. 2007Hors-ligne Dernière activité : sept. 03 2007 08:20
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Il était Une Fois ...
03 septembre 2007 - 06:20
La Grenouille
02 septembre 2007 - 04:16
Grande elle ne l'est point
Raconter elle le sait bien
Et tout va si loin
N'oublions pas qu'elle ne tient
Où elle peut sans soins
Ultime chose où il n'y a rien
Inanité d'un effort sans recion
L'idée sauvage que l'eau détient
La liberté n'est pas loin
Elle a juste besoin des siens
Raconter elle le sait bien
Et tout va si loin
N'oublions pas qu'elle ne tient
Où elle peut sans soins
Ultime chose où il n'y a rien
Inanité d'un effort sans recion
L'idée sauvage que l'eau détient
La liberté n'est pas loin
Elle a juste besoin des siens
Lui Et Moi, Nuit Et Jour, Le Temps D'un Bal !
01 septembre 2007 - 09:02
C'est par une nuit noire, que le château s'illumina,
Le ciel était rempli de chauve-souris et d'hiboux.
Dans la cour, des hommes pâles avec leurs dames blanche et,
Des sorcières accompagnées de leurs cochers sans tête, entrent dans le château.
Autour de ce château, des douves, où un monstre vit dedans,
Mi-crocodile, mi-serpent, mi-lézard, il serpente ces eaux.
Par une fenêtre du château, un homme habillé de noir
Dans une pièce sombre me regarde intensément.
Ca y est le bal à commencer, tout le monde danse !
Mais ce n'est pas n'importe quel bal,
C'est le bal des monstres où tous les monstres sont admis.
Parmi la foule, un homme, me regarde et s'approche de moi,
C'est le même homme de tout à l'heure, je le reconnaît
Même si la pièce, d'où je l'ai vu, était sombre, je reconnais son regard obscur.
Mais qui est-il ? Moi qui ne suis qu'une simple servante du mal,
Un ange déchu qui n'a pas eu sa chance au paradis !
Pourquoi voudrait-il de moi , Alors que je ne suis rien !
Il a l'air puissant dans son habit d'autrefois, toutde noir,
Son regard hypnotique ne me lâche point, durant son trajet jusqu'à moi.
Il m'invite à danser, moi la petite servante et lui le grand seigneur,
Me fera-t-il partager ses connaissances même si je sui mortelle vouait au mal ?
Je ne peux m'empêcher de le regarder dans les yeux,
Les siens ne me quittes point, il a réussi à me séduire,
Avec la robe que je porte, je me sens nue dans ses bras.
Mon âme est ouverte à lui comme un livre, il peut tout lire,
Je ne cache rien, je voudrais lui appartenir à jamais et,
Je crois qu'il le sait quand il m'a lu.
Je sen son essence émaner de lui et m'entourer tel un voile,
Je me sens flotter dans les airs et ses mains me font penser à des plumes.
La fête est finie, je quitte le château mais je sens que quelque chose me retient.
Mais qui ça ? Je lève mon regard vers la fenêtre,
Où je l'ai vu pour la première fois et je le vois, lui à qui j'appartiens pour l'éternité.
Je peux lire dans ses yeux qui me veulent mais qui ne veulent pas que je reste,
Il est triste, mais il ne veut pas que cela soit une épreuve de rester avec lui.
Je l'aime, je pense qu'il le sait, je retourne sur mes pas,
Je monte, jusqu'à cette chambre où il me regardait.
Il est là devant moi, il m'attendait, je suis à lui pour l'éternité,
Lui mon amour éternel, mon rêve de mortelle est devenue éternité.
Le ciel était rempli de chauve-souris et d'hiboux.
Dans la cour, des hommes pâles avec leurs dames blanche et,
Des sorcières accompagnées de leurs cochers sans tête, entrent dans le château.
Autour de ce château, des douves, où un monstre vit dedans,
Mi-crocodile, mi-serpent, mi-lézard, il serpente ces eaux.
Par une fenêtre du château, un homme habillé de noir
Dans une pièce sombre me regarde intensément.
Ca y est le bal à commencer, tout le monde danse !
Mais ce n'est pas n'importe quel bal,
C'est le bal des monstres où tous les monstres sont admis.
Parmi la foule, un homme, me regarde et s'approche de moi,
C'est le même homme de tout à l'heure, je le reconnaît
Même si la pièce, d'où je l'ai vu, était sombre, je reconnais son regard obscur.
Mais qui est-il ? Moi qui ne suis qu'une simple servante du mal,
Un ange déchu qui n'a pas eu sa chance au paradis !
Pourquoi voudrait-il de moi , Alors que je ne suis rien !
Il a l'air puissant dans son habit d'autrefois, toutde noir,
Son regard hypnotique ne me lâche point, durant son trajet jusqu'à moi.
Il m'invite à danser, moi la petite servante et lui le grand seigneur,
Me fera-t-il partager ses connaissances même si je sui mortelle vouait au mal ?
Je ne peux m'empêcher de le regarder dans les yeux,
Les siens ne me quittes point, il a réussi à me séduire,
Avec la robe que je porte, je me sens nue dans ses bras.
Mon âme est ouverte à lui comme un livre, il peut tout lire,
Je ne cache rien, je voudrais lui appartenir à jamais et,
Je crois qu'il le sait quand il m'a lu.
Je sen son essence émaner de lui et m'entourer tel un voile,
Je me sens flotter dans les airs et ses mains me font penser à des plumes.
La fête est finie, je quitte le château mais je sens que quelque chose me retient.
Mais qui ça ? Je lève mon regard vers la fenêtre,
Où je l'ai vu pour la première fois et je le vois, lui à qui j'appartiens pour l'éternité.
Je peux lire dans ses yeux qui me veulent mais qui ne veulent pas que je reste,
Il est triste, mais il ne veut pas que cela soit une épreuve de rester avec lui.
Je l'aime, je pense qu'il le sait, je retourne sur mes pas,
Je monte, jusqu'à cette chambre où il me regardait.
Il est là devant moi, il m'attendait, je suis à lui pour l'éternité,
Lui mon amour éternel, mon rêve de mortelle est devenue éternité.
C'est La Vie
01 septembre 2007 - 08:24
Quand je t'ai vu partir, j'ai compris que c'était fini,
Mais je ne vais pas te regretter à l'infini.
Que tu parviennes à entrer ou à sortir de ma vie,
Cela ne m'importe guère, tant que tu ne reviennes plus ici.
Que ma mélancolie laisse place à la rêverie,
Et que ma nostalgie laisse place à la poésie.
Un autre est entré dans ma vie comme par magie.
Il m'a fait découvrir, en une nuit,
Une pluie d'étoiles quiluit, dans mon ciel assombrit.
Comme mon passé n'est que gribouillis,
Il a enlevé les brousailles pour que soit libre mon esprit.
Nous sommes inséparables comme l'oiseau et sa mélodie.
Mais je ne vais pas te regretter à l'infini.
Que tu parviennes à entrer ou à sortir de ma vie,
Cela ne m'importe guère, tant que tu ne reviennes plus ici.
Que ma mélancolie laisse place à la rêverie,
Et que ma nostalgie laisse place à la poésie.
Un autre est entré dans ma vie comme par magie.
Il m'a fait découvrir, en une nuit,
Une pluie d'étoiles quiluit, dans mon ciel assombrit.
Comme mon passé n'est que gribouillis,
Il a enlevé les brousailles pour que soit libre mon esprit.
Nous sommes inséparables comme l'oiseau et sa mélodie.
Courtisane
01 septembre 2007 - 07:45
Couché sur l'herbe coupé
Herbier vivant au mois demai
Amourette sans effusion
Raconter en illusion
Liberté du mois de juillet
Oublié à l'ombre du passé
Tu restes seule sans courtisans
Touchant au coeur l'amant
Et c'est toi qui l'illumine de ton rayonnement