Aller au contenu

Résurrection

Inscrit(e) : 11 sept. 2007
Hors-ligne Dernière activité : nov. 01 2007 12:24

Messages que j'ai posté

Dans la publication : Je ne dirai jamais...

03 octobre 2007 - 10:52

Il y a bien quelque chose qui attire le lecteur. Difficile de s'échapper malgré tout. Les mots sont-ils choisis pour la rime ?

Juste une petite remarque

[...]

Des mémoires qui ne flanchent,

[...]


Le fond glisse sur la forme, il en ressort néanmoins cette magie poétique qui ne demande qu'à s'envoler. Libère l'émotion dans tes mots.

Dans la publication : Le temps où l’on jouait aux billes !

03 octobre 2007 - 10:40

"Je me pose à penser, d'une vague amertume"


Je ne puis que me résigner à la puissance de tes vers. Un plaisir d'y revenir.

Dans la publication : Le temps où l’on jouait aux billes !

02 octobre 2007 - 08:25

Très fort, empreint de l'âme de l'auteur, les mots glissent tendrement sur les souvenirs.

Juste une accroche verbale, sur le second vers

Devant l'ordinateur et son écran de nuit,
Je me pose à penser, avec quelque amertume,
[...]


Je proposerai ceci :
Je me pose à penser, avec douce amertume,

Je fonds sur le fond et danse avec la forme, une poésie à délecter. J'adhère.

Dans la publication : néant

25 septembre 2007 - 07:44

Ce sentiment volé, le coeur meurtris, cette trahison
j'étais devenu simplement innocent, ignorant

sidéré, plafond au sol
je n'étais plus accordé

insouciant de la réalité, j'étais absorbé
j'écoutais mon cœur se déchirer

ai-je besoin de ces voix de compassions?
ai-je vraiment perdu la raison?

j'ai besoin d'une délivrance, de ta présence
suis-je devenu faible de cette romance?





Plus de vivacité dans les mots, un mélange d'auréole, d'imagination.

Belle tournure.

Dans la publication : néant

24 septembre 2007 - 10:56

J'ai ce sentiment d'avoir été trop confiant

[ ... ]

Alors j'en profite, j'en ai loupé une.

La poésie n'est pas de simple mot que l'on dépose sur unpapier. Se sont des images, ressentit par l'auteur. Au travers de la poésie, ces mots nous transmettent des images, comme la lecture d'un livre (sans images). Ils décrivent un sentiment, une impression, un désir, une pensée, tout ce qui est abstrait y prend vie.

Il y a le visuel qui joue sur l'esprit du lecteur, la phonétique y prend le goût du supplice, l'âme du divin coule comme du meil.

Ce sentiment d'être confiant, laisse paraitre une blessure infligée.
On peut le rendre plus dramatique :
"Ce sentiment volé, le coeur meurtris, cette trahison".
On peut rendre cela plus théatrale :
"Vous n'aviez qu'à me rendre mon coeur, ou le déchirer".

On peut manipuler l'esprit du lecteur, en s'imprégnant du support le plus précieux, son esprit. Laisser couler les maux et y trouver une guérison en la poésie.

La poésie est un Art, qui sans l'écrivain, elle n'aurait pas d'existence. Sans le travail de l'esprit, l'écrivain n'aurait pas d'existence non plus.

Une simple envie de partager un instant de poésie.