Anton Orat

e

N e

M N e

MARIANNE

M R N

Entre l’ avalanche de ch’ N

Et celle que j’ M R

Il y a cet Rpur

Qu’ envoie le sons.

L’ heureux a mal

Où mouettes sont,

Leur e final.

Je ne vis que par et pour le plaisir,
Pour frémir. J' ai déjà brûler l' eau,
De mon sang, vu l' âme vomir.

C' est sous sa coup' que l' alliance a brisé
En pacte et pic sa lame m' excite,
Brute cantique; noire alizé.

Allusions censées....je me fous de vous.
Aux anges sirupeux je m' allie
De glossolalie; j' en suis fou.

Que mon corps déchiqu'té me laisse nu,
Que mon âme vénale s' empale
Si l' on dort d' orgasmes en ses nues.

Je ne vis qu' eux autour de mon néant.
Vénus de ses vertiges me suce,
Mars en vestiges me descend.

S' il faut consumer autant assumer.
Je t' embrasse à grandes dents; en chant,
Le temps brasse au sang l' allumé.

J' ai semé ces désirs sans que jamais
Nos plaies, des irs râllent le plaisir:
J' aime ta langue aux clous serrée.

Ta sangle a glissé, braise de mes nuits,
Ses baisers à mon cou lacéré.
Et pourtant, sans toi, je m' ennuie.