Excuses à maître Sonnet
Maître Sonnet gémit, vert, épuisé sans cesse.
Fier de son court sursis, mais ultime faiblesse.
Blessé par mon oubli ; maintes inattentions,
Vers un futur miteux, laid et sans prétention.
Excusez mes fautes. Car mes écrits se dressent,
Dénués de pensée, pleins de délicatesse.
Très vite trompeuse, attirant la raison,
Espérant contourner les règles et canons.
Mais grand maître Sonnet ; légende poétique,
Réintègre ici-bas ses lettres de grandeur,
Prestige de nouveau, sans truchement clinique.
J’ai par ces quelques mots, ternissant par erreur,
A me défaire là , d’une vieille quittance :
Que mes accents perdus soient oubliés d’avance.
Gorgonzola
Inscrit(e) : 17 sept. 2007Hors-ligne Dernière activité : sept. 29 2007 03:31